mardi 2 octobre 2018

LEPOTCOMMUN.FR Le pot commun.fr : Solidarité avec les sinistrés des inondations en Tunisie Solidarité avec les sinistrés des inondations en Tunisie

Merci de contribuer et de faire contribuer à cette Collecte de solidarité pour les sinistrés des inondations en Tunisie (septembre 2018).
Soutiennent l'initiative :
Associations :
- ATF : Association des Tunisiens de France
- ADTF : Association Démocratique des Tunisiens en France
- FTCR : Fédération des Tunisiens pour une Citoyenneté des deux Rives
- MCTF : Mouvement Citoyen des Tunisiens en France
- REMCC : Réseau Euro- Maghrébin Citoyenneté et Culture
Partis :
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- El Massar
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Solidarité avec les sinistrés des inondations en Tunisie,Sept 18

Les migrants de l’« Aquarius » sont arrivés à Malte

Les migrants de l’« Aquarius » sont arrivés à Malte

Les 58 migrants, une fois les contrôles sanitaires et légaux effectués, seront ensuite transférés vers plusieurs pays européens, dont la France.
LE MONDE |  • Mis à jour le 

Les 58 migrants débarquent de l’« Aquarius », à Malte, le 30 septembre 2018.

Les 58 migrants sauvés au large de la Libye par le navire humanitaire Aquariussont arrivés, dimanche 30 septembre, dans le port de La Valette, à Malte, après presque une semaine d’attente au large de la petite île méditerranéenne. Ces personnes, essentiellement d’origine libyenne, avaient d’abord été transférées dans la matinée sur un navire des gardes-côtes maltais depuis l’Aquarius.

Ce dernier est resté au large, dans les eaux internationales, de crainte d’être saisi ; il s’est, en effet, vu retirer son pavillon par le Panama, le résultat de pressions italiennes, selon Nick Romaniuk, le responsable des opérations de sauvetage.

Ces 58 migrants, dont 17 femmes et 18 mineurs, une fois débarqués et les contrôles sanitaires et légaux effectués, seront ensuite transférés vers plusieurs pays européens, conformément à un accord trouvé mardi. Aux termes de cet accord, la France accueillera 18 de ces migrants, l’Allemagne et l’Espagne, 15 chacune, et le Portugal, 10.

jeudi 11 janvier 2018



Migrants: entre 90 et 100

 personnes

 seraient disparues 

au large de la Libye


La marine libyenne a annoncé, mardi 9 janvier 2018 sur la base du récit de survivants, qu'entre 90 et 100 migrants avaient disparu en Méditerranée après le naufrage de leur embarcation.

Entre 90 et 100 migrants seraient portés disparus
en Méditerranée après le naufrage
de leur embarcation de fortune
 au large des côtes libyennes, au niveau de la ville d'al-Khoms.
 Il s'agissait d'un canot pneumatique. Seules 17 personnes
, dont des femmes, ont pu être secourues,
 après être restées plusieurs heures cramponnées à des morceaux du canot,
 relate le général Ayoub Kacem, porte-parole de la marine.
Toujours selon la marine libyenne,
267 autres personnes de diverses nationalités africaines,
dont des femmes à nouveau, mais également
 17 enfants ont pu être secourues tout récemment
au large de la ville de Zawiya,
 à une cinquantaine de kilomètres à l'ouest de Tripoli.
Elles se trouvaient à bord de deux embarcations
en délicatesse. Selon le porte-parole, le manque de moyens 
et le mauvais temps ont compliqué les opérations de secours.
« C'est la première fois que nous procédons à des opérations de sauvetage
 au large de Zawiya à l'ouest de Tripoli. Mais il y a beaucoup 
plus de départs de migrants de la zone située à l'est de Tripoli, 
comme Al-Garabolli et Al-Khoms. Ces lieux sont devenus des probables
 nouvelles zones de départs pour les migrants, surtout après le blocage 
des départs depuis Sabratha. Nous avons l'impression que les trafiquants 
sont en train d'y installer leurs bases et ils commencent à s'activer à partir de là », 
explique le porte-parole de la marine libyenne.
Au total, la marine libyenne dit avoir sauvé plus de 600 migrants
 ces trois derniers jours. Mais elle s'inquiète de la recrudescence 
de ces départs clandestins. Alors que les conditions météo 
sont particulièrement difficiles et les trois bateaux de la marine libyenne insuffisants.
 « Nos moyens sont faibles et ils s'affaiblissent de jour en jour
 car nos bateaux sont anciens et tombent souvent en panne.
Nous sommes de plus en plus inquiets de ne pas pouvoir
 remplir notre mission de sauvetage. Hier notre bateau a passé 12h 
dans des opérations de sauvetage très difficiles, allant de l'est à l'ouest de Tripoli. 
Et pendant ce temps, l'Europe et la communauté internationale 
nous blâment et ne nous fournissent aucune aide matérielle. »
Sommet européen à Rome
En 2017, selon l'Organisation internationale pour les migrations (OIM),
 au moins 3116 migrants sont morts ou ont disparu en traversant la Méditerranée
 pour rejoindre l'Europe, dont 2833 au large de la Libye,
 selon un décompte de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM).
 Les tentatives de traversée sont en forte baisse depuis l'été 2017,
 alors que l'Italie s'emploie à empêcher les départs dans le cadre d'un accord 
avec les autorités et milices libyennes.
Un sommet de pays européens riverains de la Méditerranée s'est réuni 
que le dossier des migrations ce mercredi 10 janvier à Rome,
 en présence des dirigeants de sept pays du sud de l'Union européenne.
Source RFI


Tunisie: la contestation

 alimentée par les mesures

 d'austérité ne cesse pas


En Tunisie, les manifestations contre la hausse des prix et l'austérité ne faiblissent pas. Ces protestations ont lieu dans tout le pays. Elles visent en particulier la nouvelle loi de finances, qui vient s'ajouter à une inflation de plus de 6% en 2017 et à un taux de chômage qui dépasse les 15%. Et cette nuit, pour la troisième nuit consécutive, les manifestations ont dégénéré en affrontements.

Jets de pierre et cocktails Molotov côté manifestants,
gaz lacrymogènes côté forces de l’ordre. Plusieurs manifestations,
qui avaient débuté pacifiquement dans l’après-midi ont tourné
aux affrontements violents pendant la nuit,
 notamment à Tebourba, à une trentaine de kilomètres de Tunis.
C’est dans cette ville
 qu’un homme de 43 ans a trouvé la mort lundi lors des manifestations.
Dans la cité Ibn Khaldoun, un quartier de Tunis,
 des affrontements ont duré une partie de la nuit. Youssef 
 habite près du centre commercial que des jeunes avaient pris pour cible,
 avant d’être repoussés par la police : « Hier quand je suis rentré chez moi le soir,
 j’ai commencé à pleurer à cause des gaz lacrymogènes »
. Fatma, elle, ne cache pas ses craintes face à ces regains de violence :
 « La situation actuelle de notre pays ne supporte pas une deuxième révolution.
 Cela fait peur. Il y a des risques, car la sécurité est en péril dans notre pays ».
 Ahmed est resté tard dans la rue pour dire sa colère de voir son niveau de vie
 fondre d’année en année : « Le niveau de vie en Tunisie, c’est trop cher. 
C’est une catastrophe. Il y a deux niveaux, les riches et les pauvres.
 Il n’y a pas de moyenne classe ».
Le ministère de l’Intérieur a annoncé que 70 policiers avaient blessés lors des heurts.
 Des pillages de supermarchés ont été signalés,
 ainsi que l’attaque d’un poste de police à Thala dans le centre du pays
. Et, face à cette situation les autorités réagissent très fermement.
 565 personnes ont déjà été arrêtées. L’armée a été déployée autour de bâtiments 
gouvernementaux sensibles dans les grandes villes du pays.
Les protestations ne devraient pas faiblir
Le Premier ministre, Youssef Chahed, a déclaré que la loi serait appliquée
 fermement contre les casseurs. Les bâtiments publics, les magasins généraux, 
postes de police sont clairement des cibles de ces manifestants casseurs nocturnes.
 Il a également accusé des partis de gauche et des réseaux mafieux
d'être derrière les violences.
 Le mouvement Fech Nestannew (Qu'est-ce qu'on attend),
un réseau de jeunes activistes 
à l'origine des manifestations, a pourtant appelé à manifester pacifiquement.
Par ailleurs plusieurs militants ont fait remarquer que les déclarations 
du gouvernement étaient très semblables aux arguments utilisés à l'époque
 de la révolution par le régime de Ben Ali pour discréditer les protestataires.
 Alors, y aura-t-il une nouvelle révolution ? Certains observateurs s'interrogent.
 La situation économique et sociale, qui était au coeur des revendications en 2011, 
ne s'est pas améliorée, bien au contraire. Le taux de chômage
 est aujourd'hui de plus de 15% en Tunisie. L'inflation a atteint 6,4% 
l'an dernier et la nouvelle loi de Finances est la goutte d'eau qui fait déborder le vase.
Pourtant Amin, comme nombre d’habitants, est persuadé que les rassemblements violents
 sont attisés par des responsables politiques ou économiques : « Il y a des gens qui aimeraient
 voir un petit peu un petit chaos dans ce pays franchement. Je vous donne juste
 pour la petite remarque, on a quand même la loi de finances qui est tombée le 30, 
et le 31 au soir, ça a commencé. Donc cela ne peut pas être aussi spontané
 que ça, honnêtement ».
Difficile de prédire l'avenir
Mais il est difficile de prédire l'avenir : ce n'est pas la première fois qu'on assiste
 à de telles flambées de colère. Traditionnellement, le mois de janvier 
est celui des mouvements sociaux en Tunisie. Et les protestations 
ne devraient pas faiblir dans les prochains jours : 
 une importante manifestation est prévue vendredi 12 janvier à Tunis.  
Une autre doit avoir lieu dimanche, le 14 janvier,
jour du septième anniversaire de la révolution,
 à l'appel notamment de l'UGTT, la principale centrale syndicale du pays.
 Chaque année aussi,
 depuis quatre ans maintenant, la grogne s’amplifie à l’approche
de l'anniversaire de la révolution 
du Jasmin dont nous fêterons la septième édition dimanche prochain.

■ La Tunisie cherche toujours à redynamiser son économie
 depuis la fin de la révolution de 2011
Après voir ralentit pendant trois ans, l’inflation en Tunisie est repartie à la hausse
 depuis la fin de l’année 2016. Elle a dépassé les 6% à la fin de l’année 
dernière contre 5,7% en août. Malgré le marasme
 économique de ces dernières années,
 il y a eu des embauches massives dans la fonction publique, sans pour autant
 régler le problème du chômage, surtout des jeunes, qui a même augmenté.
Les statistiques officielles mettent en évidence
 « l’approfondissement des inégalités sociales »
 et la hausse du taux de pauvreté. Confronté à d'importantes difficultés financières,
 le gouvernement tunisien a dû faire appel au Fonds monétaire international,
 qui a débloqué 2,4 milliards d'euros sur quatre ans,
 en échange d'un programme visant à réduire les déficits. La loi des finances 2018, 
dont les manifestants réclament la révision, a d’ailleurs été conçue dans cet esprit.
Pour financer une partie des dépenses de fonctionnement,
 le gouvernement tunisien a recours à la dette publique,
 qui frôle maintenant 70% du PIB contre 40% en 2010. 
L’économie du pays est aujourd’hui tirée par le secteur des services.
 La production industrielle s’est contractée de 6,6% et les industries extractives 
affichent une croissance inférieure aux niveaux historiques,
 en raison des mouvements sociaux dans les régions minières.
Source RFI

mardi 9 janvier 2018


مراسلتنا: مقتل شخص في احتجاجات ضد الحكومة التونسية

أكد وائل نوار القيادي في حملة "ماذا ننتظر" بتونس مقتل أحد المحتجين في مدينة طبربة التابعة لولاية منوبة، مشيرا إلى أن القتيل دهسته سيارة شرطة أثناء محاولتها تفريق المحتجين.
Travaux de l'assemblée Générale ordinaire élective du Réseau Euro Maghrébin Citoyenneté et Culture (REMCC)

Travaux de l'assemblée Générale ordinaire élective du Réseau Euro Maghrébin Citoyenneté et Culture (REMCC )