mercredi 6 août 2014

une deuxième phase d'inscription sur les listes électorales a été accordée.

Photo : IRIE France1 : Deuxième phase d'inscription du 5 au 26 Aout
 ----------------------------------------------------------------------------------

 Bonjour,
 Pour permettre à encore plus de gens de s'inscrire, une deuxième phase d'inscription sur les listes électorales a été accordée. 
 En voici les modalités :
- Cette phase est ouverte du 5 au 26 Aout 2014
- Les électeurs inscrits pendant cette deuxième phase ne peuvent pas candidater pour être élus.
- Les inscriptions sont possibles sur Internet et aux bureaux d'inscription.
- Les bureaux d'inscription pour France Nord seront donc ouverts du 5 au 26 Aout aux trois consulats: Paris, Pantin et Strasbourg.

 Cordialement.Pour permettre à encore plus de gens de s'inscrire, Pour permettre à encore plus de gens de s'inscrire, une deuxième phase d'inscription sur les listes électorales a été accordée.
En voici les modalités :
- Cette phase est ouverte du 5 au 26 Aout 2014
- Les électeurs inscrits pendant cette deuxième phase ne peuvent pas candidater pour être élus.
- Les inscriptions sont possibles sur Internet et aux bureaux d'inscription.
- Les bureaux d'inscription pour France Nord seront donc ouverts du 5 au 26 Aout aux trois consulats: Paris, Pantin et Strasbourg.
 

En voici les modalités :
- Cette phase est ouverte du 5 au 26 Aout 2014
- Les électeurs inscrits pendant cette deuxième phase ne peuvent pas candidater pour être élus.
- Les inscriptions sont possibles sur Internet et aux bureaux d'inscription.
- Les bureaux d'inscription pour France Nord seront donc ouverts du 5 au 26 Aout aux trois consulats: Paris, Pantin et Strasbourg.
Nos bureaux d'inscription seront à nouveau ouverts du Mardi 5 au Mardi 26 Août 2014
Ouverrture des permanences de la Plateforme des
Droits Civiques des Tunisiens à l’Étranger (dans les locaux de l'ATF
et du FTCR à Paris), pendant la période d'inscription sur les listes
électorales en Tunisie et à l'étranger

Solidaires avec les chrétiens d'Irak


Solidaires avec les chrétiens d'Irak
Appel à la communauté internationale pour sauver les chrétiens d'Irak
Depuis quelques semaines – et particulièrement ces derniers jours –, une population entière de chrétiens d’Irak fait l’objet d’une extermination ethnique et religieuse déclarée, au nom de l’islam, de la part des troupes barbares de l’EIIL (Da‘ich). Femmes, hommes, enfants, civils et religieux sont expropriés, dépossédés de leurs biens, pourchassés de leurs maisons, de leur terre, ou tout simplement lâchement assassinés. A Mossoul, des églises et des bibliothèques sont brûlées.
Déjà muette devant les crimes et les destructions perpétrés à Gaza, la communauté internationale ne semble pas s’émouvoir, outre mesure, de la tragédie que vivent les chrétiens d'Irak, comme s’il s’agissait d’un incident mineur, d’un dommage collatéral ! Le massacre impuni prend de l’ampleur, s’approche de Bagdad et s’étend à la Syrie, et personne ne paraît en mesurer la gravité ni se soucier de l’arrêter !
Au nom des hautes valeurs de la liberté de culte, des droits fondamentaux de l’humain, au nom du droit à la vie, au nom du droit inaliénable à une terre et à une nationalité :
Nous, associations, organisations, personnalités de l'émigration en France et en Europe, et citoyen(ne)s des pays du Maghreb signataires de cet appel, conscients que l’injustice et la barbarie doivent être combattues sans relâche, tant en Irak qu'à Gaza et ailleurs, interpellons les gouvernements des pays du monde arabe, la communauté mondiale – musulmans, juifs, chrétiens, croyants, non-croyants, libres penseurs… –, ainsi que les institutions et les instances internationales (ONU, Ligue arabe…), et les pressons à réagir vivement, à condamner énergiquement ce qui se passe sous nos yeux et à intervenir concrètement pour mettre fin aux souffrances d’une communauté entière dont le seul tort est d’être chrétienne, en la rétablissant dans son droit.

Paris, le 28 juillet 2014.
Pour tout contact et signature : cherbib@gmail.com
Premiers signataires :
Associations / Organisations
Comité pour le Respect des Libertés et des Droits de l’Homme en Tunisie – CRLDHT
Association des Travailleurs Maghrébins en France – ATMF
Fédération des Tunisiens Citoyens des deux Rives – FTCR
Association des Marocains en France – AMF
Association des Tunisiens du Nord de la France – ATNF
Association Vérité et Justice pour Farhat Hached - AVJFH
Association Femmes plurielles
AIDDA
Collectif 3C
Réseau Euro-Maghrébin Citoyenneté et Culture - REMCC
Afrique Culture Maroc
Association des Tunisiens en France – ATF
Comité de Vigilance pour la Démocratie en Tunisie (asbl) – Belgique
Mouvement Citoyen des Tunisiens en France – MCTF
Afrique Survie Migration
Forum Palestine Citoyenneté
Association Démocratique des Tunisiens en France – ADTF
Belleville Galaxie ONG – Paris
Association Solidarité Fraternité Méditerranéenne – ASFM
Association Médecins de la Paix – APM
Collectif Agir pour le Changement et la Démocratie en Algérie – ACDA
Respaix Conscience Musulmane
Mouvement Echaab – Tunisie
Association Ecologique BLADI – Elkantaoui - Tunisie
Manifeste des Libertés
Association pour la recherche sur la Transition Démocratique – Tunisie
Association pour la défense de la neutralité des Mosquées et de l’Administration
Ligue Française des Droits de l’Homme – LDH
Cedetim / Ipam
Assemblée Européenne de s Citoyens (HCA- France)
-
Personnalités :
Hichem Abdessamad, Traducteur
Chérif Ferjani, Universitaire – Lyon 2
Mohammed Khénissi, ancien directeur de centre de Formation
Sophie Bessis, Historienne
Mohammad, Harbi, Historien
Abdelmajid Charfi, Universitaire – Tunisie
Yadh Ben Achour, Professeur Université de Tunis
Kraim Lahidji, Président de la Fédération Internationale des Droits de l’Homme - FIDH
Kamel Jendoubi, Président d’honneur du Réseau Euro-méditerranéen des Droits de l’Homme
Abdallah Zniber, ancien Président de l’association Immigration Droit et Démocratie
Tarek Benhiba, Conseiller Régional – Ile de France - Président FTCR
Alima Boumedienne Thiery, Avocate ancienne Parlementaire
Mourad Allal, Directeur d’Organisme de Formation
Houda Zikri Poétesse
Souad Chaoui, Présidente de l’AMF
Driss El Kherchi, Président de l’ATMF
Tewfi Allal, Militant associatif
Adel Ltifi, Historien
Mohamed Bensaid, Médecin, Militant des droits de l’Homme – CRLDHT
Kamel Daoud, Chirurgien retraité, militant associatif (LADDH) Algérie
Nacer Jalloul, Militant associatif
Dr Fouad Saberan, Psychiatre- Iran-France
Dridi Mohsen, Militant Associatif
Hédi Chenchabi, Militant associatif
Ali Neb Ameur, Militant associatif
Najla Gharbi, Chercheure-Universitaire, Militante Politique
Mohamed Hamrouni, Militant associatif
Nadia Chaabane, Députée de la Constituante ANC-Tunisie (Al Massar)
Raoudha Faouel, Militante associative
Mrad Gadhoumi, Militant associatif
Mohamed Smida, Militant associatif et politique
Abdessalem Kleiche, Militant associatif -ATTAC
Fathi Benslama, Psychanalyste
Farouk Belkeddar, Militant associatif
Kalthom Kennou, Ancienne Magistrat – Tunisie
Hafedh Affes, Militant Associatif
Selma Belaala, Ph.D Chercheure Marie
Larbi Maaninou, ancien président de l Asdhom, de l Asadh et du GmbH- France
Mohamed Lakdahar Ellala – Président de l’ATF
Najet Mizouni, Universitaire
Fathi Elhadjali, Militant associatif - Belgique- CVDT
Claudette Scemama- Ferjani, Militante associative
Ali Aidoudi, Ancien Ambassadeur - Tunisie
Larbi Chouikha, Universitaire - Tunisie
Sami Bargaoui, Historien – Universitaire - Tunisie
Mohamed Larbi Bouguerra, Académie Tunisienne des Sc. des Arts et des Lettres
Abderrazek Kitar, Militant associatif
Noureddine SENOUSSI, Président de REMCC
Maha Abdelhamid, Doctorante
Khaled Abichou, Militant associatif
Adel Thabet, Militant politique
Hédia Mohsen Ben Ameur, Militante associative
Gerard Maarek, Urbaniste
Saloua Ben Abda, Ecrivain
Hassen Chami, Ecrivain
Baya Boualem, Formatrice Chercheure
Mansari Mellouh, Assistant Administartive Education Nationale
Fabien Didier Yéné, Président Afrique Survie Migration
Dalal Abu Saud, Forum Palestine Citoyenneté
Tarek Toukabri, Militatnt Associatif
Ahmed Galai, Vice Président LTDH – Tunisie
Kamel Labidi, Journaliste, défenseur des droits humains – Tunisie
Catherine Belkhodja, Artiste, Observatoire de la Diversité
Aida El Amri, Médecin Présidente de l’ Association Tunisie Culture et Solidarité
Ezzeddine Boughanmi, Coordinateur Front Populaire France2
Jelloul Ben Hamid, Militant Assiciatif
Ahmed Amine Khamlichi, Chercheur CNRS
Annie Lahmer, Co-Secretaire Régional IDF/EELV
Karim Messaoudi, Militant associatif – AMF
Hosni Lahmar, Médecin - Président de l’AMP
Hassan Zerrouki, Journaliste
Said Laayari, Militant associatif – ASDHOM
Farouk Mansouri, Militant associatif
Khaled Hmida, Militant associaitf – LDH
Mohamed Damak, Militant Politique et associatif
Jounaid Abdeljaouad, Membre du Secrétariat National d’El Massar
Sophia Hammami, Journaliste - Tunisie
Wael Bouziane, Journaliste – Tunisie
Ali Abaab, Universitaire et militant associatif – Tunisie
Ben Salma Fredj , D.G CESAFE AERO
Annie Bouguerra, Maître de conférence honoraire Faculté de Médecine de Tunis.
Hajer Bouden, Traductrice – Paris
Texfik Hakem, producteur à France Culture
Salah Hachem, Membre du F.S.M. pour le soutien eu Forum Social Irakien
Nozha Ben Fredj, Membre du F.S.M. pour le soutien eu Forum Social Irakien .
Noureddine SENOUSSI Président de REMCC
Chaker Hamzaoui, Ingénieur – Tunisie
Ahmed Amara, Militant pour l’Education populaire et la Citoyenneté
Hassen Arfaoui, Journaliste – Tunisie
Ahemed El Abed, Traducteur
Amir Bel Haj Hassine, S.G. de l’Associaiton Jeunes Actifs de Tunisie
Sami Hachicha – Maître Assistant –Tunisie
Bilel Mezni, Journaliste et Réalisateur – Tunisie
Ali Dabaj, Enseignant, militant associatif
Fawzi Abdouli, Anesthésiste
Mongi Boughzala, Professeur Tunis
Chedly Elloumi, Militant associatif, Grenoble
Mohamed Maali, Journaliste – Tunisie
Rachid Khechana, Journaliste – Tunisie
Nacer Benrajeb, Militant de la libre pensée
Ridha Smaoui, Médecin – Lyon
Habib Guiza, SG de la Confédération Générale Tunisienne du Travail – CGTT
Zeineb Guehiss, Citoyenne – Tunisie
Ayda Hichri, Citoyenne - Tunisie
Amor Ghedamssi, Citoyen – Tunisie
Nahla Benkhlifa, Militante politique et associative
Ali Majed, Inspecteur de l’ Education nationale, Tunisie
Hayat Lahbaili, Présidente de Mouvement Alternative Citoyen – Maroc
Salh Zeghidi, Militant politique et associatif – Tunisie
Habib Ouarda, Libraire
Nacer Elidrissi, Président de la Plateforme Euro-méditerranéen – France
Sérénade Chafik, Militante féministe
Lotfi Benslama, Médecin
Nadia Bakli, Professeur d’architecture

Mouhieddine Cherbib, Militant des droits Humains - CRLDHT
-Avec le soutien de :
Gilles Lemaire, Militant ATTAC
Olivier Tric, Architecte, Militant associatif - LDH
Marcel Amiyeto - Afrique Culture Maroc
Odile Schwertz-Favrat, Co-Présidente de la FASTI
Jean Philip Merkel, Militant ATTAC
Paul Balta, Ecrivain – Journaliste
Paul Oriol, Auteur de Plaidoyer pour une citoyenneté européenne de résidence
Gerard Warenghem, Président de Partenia 2000
Gilles Manceron , Historien, LDH
Jacques Boutault, Maire du 2ème arrondissement de Paris
Chantal Dhoukar, Conseillère Régionale de Bourgogne – EELV
Françoise Clément, Militante ATTAC
Michel Bock, Conseiller Régional - EELV/IDF
Jacques Picard, Conseiller Régional – EELV/IDF
Pierre Minnaert, conseil fédéral d'EELV, délégué d'EELV au Parti Vert européen
Bernard Dréano, Président du Cédetim /IPAM
Jean-Marc Tagliaferri militant EELV. AID – ATTAC
Jérome Gleize , Militant politique EELV
Michele Bailet – ATTAC
Gilles Gaillo Militant Syndicaliste 69 - France
Pierre Henry D.G. France Terre d’Asile
Pierre Tartakowsky, Président de la Ligue des Droits de l’Homme – LDH
Mayo Rodriguez , Militante associative
Benjamin Bibas, Ecologiste, EELV
Annick Flageollet, Militante associatif, Parti de Gauche
Elisabeth Sadoux
Gustave Massiah, Ancien Président du CRID - CEDETIM
Claude Zatan – Militant associatif, Cédetim
Nathalie Leblanc
Catherine Garre, CF Supléante EELV
Bernard Ravenel, Historien
Christian Guyonvarc’h, Conseiller Régional de Bretagne – Union Démocratique Bretonne

AID SAÏD, IFTAR MOUBARAK


AID SAÏD, IFTAR MOUBARAK

L’Association des Tunisiens en France (ATF), l’Espace Fârâbî et le réseau euro-maghrébin citoyenneté et culture (REMCC) souhaitent à tous leurs adhérents et leurs usagers une excellente fête de fin du mois de Ramadan.


L’ATF, Espace Fârâbi et le REMCC vous invitent à un moment de convivialité à l’occasion de la fête de l’Aïd-el-fitr.

Jeudi 31juillet 2014
de 17h00 à 19h00
à l’Espace Fârâbî
3/5, rue Louis Blanc 75010 Paris
M° colonel Fabien (ligne 2) & M° Louis Blanc (ligne 7)


Dégustation de gâteaux tunisiens, gazouz et thé à la menthe

une conférence de presse unitaire s'est tenue sur la place de la République le samedi 26 juillet 2014 suite à l'interdiction de la manif

une conférence de presse unitaire s'est tenue sur la place de la République le samedi 26 juillet 2014 suite à l'interdiction de la manif
Photo
Photo
Photo
Photo : Bureaux de vote – Présidents et assesseurs
-----------------------------------------------------------

A tous ceux qui souhaitent candidater à la tenue des bureaux de vote (présidents et assesseurs) pour les élections législatives du 24, 25 et 26 octobre et présidentielles du 21, 22 et 23 novembre 2014,
L’IRIE France 1 vous invite à envoyer par courrier électronique un CV en attendant le démarrage de la campagne officielle de recrutement.

Le courrier est à adresser à  irie.france1@isie.tn
et doit avoir comme sujet : Bureau de vote – Présidents et assesseurs

Nous  vous tiendrons informés de la suite des opérations et en particulier, du démarrage de la campagne officielle de recrutement.

Projet de loi immigration : pourquoi une carte « pluriannuelle » ?

Projet de loi immigration : pourquoi une carte « pluriannuelle » ?
Rendez-nous la carte de résident !

Le projet de loi sur l’immigration présenté aujourd’hui au Conseil des ministres prévoit la création d’une carte de séjour « pluriannuelle » d’une durée pouvant aller jusqu’à quatre ans pour les personnes de nationalité étrangères régulièrement présent·e·s en France. Préconisée par le rapport Fekl remis au gouvernement en mai 2013 [1]. comme s’il s’agissait d’une grande avancée, cette carte est supposée offrir aux personnes concernées un cadre administratif moins contraignant : le gouvernement reconnaît en effet que « les difficultés à obtenir le renouvellement d’un titre de séjour [sont] des facteurs de fragilisation économique, d’instabilité et in fine des obstacles à l’intégration ».
Pourquoi s’arrêter à cette demi-mesure ? Il y a juste trente ans, en juillet 1984, l’Assemblée nationale votait, à l’unanimité, la création de la carte de résident, valable dix ans et renouvelable de plein droit. Ce « titre unique de séjour et de travail » devait être remis à tous ceux et celles qui étaient installés durablement en France.
Les réformes successives ont détricoté ce dispositif, alors considéré, à droite comme à gauche, comme le meilleur garant de l’insertion des personnes concernées : aujourd’hui l’accès à la carte de résident n’est plus qu’une perspective lointaine et aléatoire, soumise au bon vouloir de l’administration qui vérifie préalablement l’« intégration républicaine » des postulant·e·s, et c’est la carte de séjour temporaire qui fait figure de titre de droit commun. Signataires du manifeste « Rendez-nous la carte de résident ! » [2], nos organisations – plus de 160 à ce jour – constatent au quotidien l’impact désastreux de la précarité du séjour imposée aux étranger·e·s, y compris à ceux et celles qui ont en France leurs attaches familiales ou personnelles, dans le domaine de l’activité professionnelle ou de l’accès aux droits sociaux, pour obtenir un logement ou un prêt bancaire... L’octroi d’une carte « pluriannuelle » qui pourrait de surcroît être retirée à tout moment par l’administration préfectorale ne résoudrait en rien ces difficultés.
Nous refusons qu’en 2014 des personnes qui ont construit leur vie en France soient maintenues dans l’insécurité d’un droit au séjour précaire. Le débat parlementaire qui va s’ouvrir dans quelques semaines doit être l’occasion de revenir à la philosophie qui avait inspiré la réforme de 1984 et de rompre avec une politique aux conséquences injustes et inhumaines. Même si les conditions de sa délivrance ont été progressivement dénaturées, la carte de résident, valable dix ans, existe encore dans la législation : les organisations signataires du manifeste demandent qu’elle soit à nouveau délivrée et renouvelée de plein droit aux personnes établies en France, garantissant leur droit à y demeurer sans crainte de l’avenir.
23 juillet 2014
Signataires :
les organisations signataires du Manifeste pour un titre de séjour unique, valable 10 ans, délivré de plein droit
Retrouver cette campagne sur le site : www.cartederesident.org 


Photo : Prolongation jusqu'au 29 juillet des inscriptions sur les listes électorales

Après avoir inscrit plus de 15 000 électeurs additionnels sur les listes électorales, nous avons le plaisir de vous annoncer une prolongation de la période d'inscription jusqu'au : 29 juillet 2014

Nous devons maintenir nos efforts pour concrétiser notre succès partagé.

Merci de faire circuler l'information autour de vous.
Ouverrture des permanences de la Plateforme des
Droits Civiques des Tunisiens à l’Étranger (dans les locaux de l'ATF
et du FTCR à Paris), pendant la période d'inscription sur les listes
électorales en Tunisie et à l'étranger
Photo : Ouverrture des permanences de la Plateforme des
Droits Civiques des Tunisiens à l’Étranger (dans les locaux de l'ATF
et du FTCR à Paris), pendant la période d'inscription sur les listes
électorales en Tunisie et à l'étranger

https://drive.google.com/file/d/0BxgAEUQjxiEjaEp4VHVsTGZwLUE/edit?usp=sharing

Les criminels doivent être traités en criminels


Les criminels doivent être traités en criminels
Le 16 juillet 2014 au mont CHaambi à Kasserine (centre de Tunisie) et à l’heure de la rupture du jeûne, une quarantaine de terroristes se réclamant des phalanges terroristes jihadistes, se sont livrés à l’assassinat de quatorze soldats, sous-officiers et officiers de l’armée tunisienne et ont blessés une vingtaine d’autres dont huit très gravement atteints.

Cet acte barbare et ignoble vient s’ajouter à une liste de tueries, déjà longue, depuis l’avènement de la troïka conduite par le parti Ennahda au pouvoir. Le tribut payé par nos soldats, nos forces de l’ordre, par des dirigeants et militants politiques, n’a pas cessé d’augmenter pendant ces trois dernières années.

Le terrorisme wahhabite et jihadiste a profité de l’affaiblissement de l’état, après la révolution et de la désorganisation de l’administration pour se développer en Tunisie.

L’investissement des courants salafistes et jihadistes soutenus par l’argent saoudien, qatari et du golfe, protégés par Ennahda et le parti du président de la république(CPR), favorisés par l’éclatement de l’état libyen et la libre circulation des armes ainsi que l’enlisement de l’ANC dans ses contradictions internes, ont tous constitué des facteurs favorables à l’installation du jihadisme en Tunisie pour empêcher vaille que vaille la transition démocratique en Tunisie.

Les autorisations accordées par les gouvernements d’Ennahda, avec la bénédiction du président provisoire de la République, aux prêcheurs wahhabites et jihadistes du Golfe et d’Egypte de circuler librement dans les mosquées tunisiennes, d’occuper illégalement les mosquées et chasser les fidèles modérés et de se faire inviter même au palais de Carthage, et la légalisation du gouvernement de la Troika-Ennahdha de centaines d’associations salafistes et jihadistes et les partis intégristes en totale contradiction avec leur interdiction par les décrets-lois poste révolution, ont provoqué des dégâts irréparables dans la société tunisienne.

Le soir du 16 juillet, pendant que des familles pleurent leurs enfants et proches et expriment avec beaucoup d’autres leur colère contre ce lâche assassinat, d’autres Tunisiens sortant des mosquées, manifestent leur joie en brandissant un sinistre drapeau noir, symbole de la nébuleuse djihadiste terroriste d’Alquaida et des frères musulmans.

Ils ont osé brandir ce drapeau de la couleur de leur cœur et leur esprit pour festoyer dans plusieurs villes et villages tunisiens.

Les forces de l’ordre, les autorités locales et centrales n’ont rien entrepris pour mettre fin à ces sinistres cortèges, Pourquoi ?
Les discours des responsables des différents ministères et des présidents ( de la République et du Gouvernement) ont eu pour seul souci de tenter d’expliquer, rassurer et promettre sans aucun engagement clair ni un programme ou une stratégie annonciatrice de la fin de ce fléau.

Comme pour les opérations précédentes, le président provisoire et le président du gouvernement actuel ont usé seulement de phraséologie.

Quid des responsabilités, des complicités, des résultats obtenus et des suites à donner ? Rien n’est venu rassurer les Tunisiens inquiets. Tous se cachent derrière l’urgence d’examiner et voter la loi contre le terrorisme, même les responsables d’Ennahda s’y réfèrent. Eux qui l’ont bloqué depuis des mois déjà.

Il est clair que le but de ces terroristes mercenaires à la solde des puissances des pétrodollars, veulent, comme le désirent leurs commanditaires, faire échouer la révolution tunisienne qui a soufflé sur toute la région et au-delà, un vent de liberté et de dignité.

Nous sommes sûrs que ce sinistre dessein ne sera pas atteint et que tous ceux et toutes celles qui sont épris de liberté et d’amour pour la Tunisie et son peuple et attachés-es à la démocratie s’attelleront, ensemble à défendre pied à pied, la nouvelle constitution, le processus démocratique en Tunisie pour la modernité, la liberté, l’égalité et le progrès.

Le peuple tunisien et ses forces vives, qui ont su se mobiliser et s’unir même pendant les heures sombres du colonialisme ou de la répression du régime déchu, sont et resteront capables encore et encore de s’opposer et faire échouer les plans macabres et criminels des adorateurs du passé et de la réaction.

Nous restons confiants dans la sagesse et la clairvoyance du peuple Tunisien, de ses jeunes et de ses femmes pour faire barrage au projet de ces criminels qu’ils se réclament de Daich, d’Al Qaïda, des «frères musulmans» ou autre wahhabites, salafistes, djihadistes. Ils ne sont que des criminels terroristes et il faut les traiter comme tels.
Pas de négociations avec les criminels
Nos associations appellent les forces démocratiques et patriotiques tunisiennes à un front démocratique et patriotique uni contre les forces des ténèbres et contre le terrorisme jihadiste intégriste.

No passaran.

Vive la lutte du peuple tunisien pour un État démocratique et social
Vive la révolution tunisienne
Vive la Tunisie


Paris, le 18 juillet 2014

1ier Signatures :
Association des Tunisiens en France (ATF), Réseau Euro-Maghrébin Citoyenneté et Culture (REMCC) , Fédération des Tunisiens pour une Citoyenneté des deux Rives (FTCR),Le Collectif des Femmes Tunisiennes (CFT),Espace Farabi, IDEAL-92, ATF-Var, ATF-13, ATF-Aquitaine, ALIF’S, ATF-Haute Garonne, ATF-Nord, ATF-Var, ATF-Haute-Savoie, Idéal, Jasmin Solidarité Aix en Provence Marseille,
Photo : LES ALLEMANDS SONT CHAMPIONS DU MONDE 2014 !
Photo : Ouverrture des permanences de la Plateforme des
Droits Civiques des Tunisiens à l’Étranger (dans les locaux de l'ATF
et du FTCR à Paris), pendant la période d'inscription sur les listes
électorales en Tunisie et à l'étranger

https://drive.google.com/file/d/0BxgAEUQjxiEjaEp4VHVsTGZwLUE/edit?usp=sharing

Bourhail est la nouvelle meilleure bachelière de France. D’origine marocaine, la lycéenne de 18 ans est «fière de montrer que la diversité est une richesse pour la République».

Myriam Bourhail est la nouvelle meilleure bachelière de France. D’origine marocaine, la lycéenne de 18 ans est «fière de montrer que la diversité est une richesse pour la République».

Des 20/20 à la pelle, une moyenne finale qui tutoie des sommets historiques - et dépasse le 20/20! - et une simplicité étonnante. Voilà en quelques mots comment décrire la performance de Myriam Bourhail, reconnue officiellement meilleure bachelière de France de l’année par le ministère de l’Education nationale. D’origine marocaine, fille d’un père ouvrier et d’une mère au foyer, l’élève de terminale du lycée européen de Villers-Cotterêts (Aisne) n’a «pas la prétention d’être un symbole de la méritocratie» mais est «heureuse d’être un des exemples qui prouve à notre République que la diversité est une richesse».
Une note en sport fixée à 15, une autre à 18 en histoire-géographie. Deux 19 en philosophie et à l’écrit de français. Puis le «sans-faute»: des notes maximales en mathématiques, en sciences de la vie et de la terre, en physique ou encore dans ses deux options facultatives, le grec et l’épreuve «section européenne». Au final, Myriam signe une moyenne de 21,03/20 dans un baccalauréat scientifique, à quelques encablures du record historique de 21,18 obtenu l’année dernière par une lycéenne de Calais. Une réussite surréaliste permise par le statut particulier des épreuves facultatives et des travaux personnels encadrés (TPE) pour lesquels seuls les points supérieurs à une moyenne de 10/20 sont pris en compte. «Je n’imaginais pas les résultats monter si haut, explique la jeune fille âgée de 18 ans, c’est au-delà de mes espérances! Je me disais juste: donne le meilleur de toi, puis tu verras».
Car la future étudiante, née à Soissons (Aisne) est comme ça: toujours très humble. Elle ne s’imagine «ni plus douée, ni plus travailleuse» que les autres. «Je suis juste une curieuse, une touche à tout. Et vous savez, c’est toujours plus simple d’être bon lorsqu’on est intéressé» explique-t-elle. Heureuse de ne plus «stresser» comme lors des deux dernières semaines, la jeune Picarde se réjouit d’avoir pu «fêter ça tranquillement en famille, chez sa grand-mère.» Avant de partir en vacances, Myriam Bourhail a d’ailleurs surtout une pensée pour sa famille qui lui a toujours rappelé, sans insister, l’importance des études, ses professeurs «très, très bons» et puis ses amis qui, pour beaucoup, n’en attendaient pas moins d’elle. Des vacances qui s’annoncent uniques, puisque l’agence Directours a promis un voyage à New York à la première bachelière de l’année 2014. «Je n’ai jamais eu l’occasion de partir aussi loin, chuchote-t-elle abasourdie par la nouvelle, c’est génial.».
En ce qui concerne son avenir, Myriam espère devenir chirurgienne et s’est donc inscritel’année prochaine à la faculté de médecine. Un objectif qui ne l’empêche pas d’imaginer également une carrière politique. «Pas tout de suite, explique-t-elle la tête sur les épaules, mais bon, peut-être un peu plus tard».source le Figaro

s

Chez Latécoère, le droit de se syndiquer ne traverse pas la frontière

Des pancartes recouvrent les murs de la petite pièce. «Le pays des droits de l’homme les bafoue ouvertement chez nous»,accuse l’une d’elles, utilisée lors d’une manifestation devant l’ambassade de France, à Tunis. Depuis le 19 juin, deux ouvrières de Latélec, filiale de l’équipementier aéronautique français Latécoère, mènent ici une grève de la faim. Elles sont quatre à revendiquer leur réintégration.«C’est notre droit», assène Sonia Jebali, l’une des jeûneuses, figure de proue, avec sa collègue Monia Dridi, de cette bataille ouverte en 2011. Elles accusent leur direction de vouloir casser le syndicat qu’elles ont initié sur le site de Fouchana, près de Tunis. Les 400 employés y produisent des câbles pour avions (surtout des Airbus). A l’époque, les ouvriers, des femmes pour la plupart, étaient payés 247 dinars par mois (130 euros).
Second point noir : le manque de respect de la part des contremaîtres. En mars 2011, la cellule syndicale, affiliée à la puissante UGTT, voit le jour. Les adhésions affluent.«On a d’abord réussi à limiter les abus, niveau respect», raconte Monia Dridi. Après huit mois de bras de fer, la direction cède : le salaire minimum passe à 550 dinars.«Après ça, la répression a commencé», analyse la jeune femme. Fin 2012, l’usine ferme ses portes. Elle rouvre quelques jours plus tard, mais tourne à vide : la production a été rapatriée en France et au Mexique. La direction invoque les arrêts de travail répétés. «Il y a eu de graves débordements», fait-on valoir chez Latécoère.«Les arrêts n’étaient pas tous légaux, mais c’était normal après la révolution, et il n’y a jamais eu de violence», rétorque Mohamed Ali Boughdiri, de l’UGTT régionale.
Au printemps 2013, dix ouvrières, dont trois syndicalistes, sont licenciées. «Ils nous ont reproché d’avoir entravé le travail et nui à l’image de l’entreprise», rapporte Monia. L’activité reprend en octobreavant la signature en mars d’un accord : sur les dix, six sont réintégrées. Pas Sonia et Monia. Elles s’estiment lâchées par l’UGTT. Mais les quatre ouvrières ont le soutien de leurs collègues et d’organisations tunisiennes et françaises. L’UGTT finit par déposer un préavis de grève. Des discussions sont ouvertes, mais pour Latécoère, «la réintégration n’est pas au menu».
Elodie AUFFRAY
Source Libé


Une victoire historique

Une victoire historique. L'Allemagne écrase le Brésil (7-1) et se qualifie pour la finale de la Coupe du monde.

وفاة الشاعر الكبير على لسود المرزوقي


تذكيرا بمواعيد الانتخابات التشريعية والرئاسية.


تذكيرا بمواعيد الانتخابات التشريعية والرئاسية.
* يتم الاقتراع للانتخابات التشريعية داخل الجمهورية يوم الأحد 26 أكتوبر 2014، وبالنسبة إلى التونسيين بالخارج أيام الجمعة والسبت والأحد 24 و25 و26 أكتوبر 2014.
* يتم الاقتراع للدورة الأولى للانتخابات الرئاسية داخل الجمهورية يوم الأحد 23 نوفمبر 2014، وبالنسبة إلى التونســيين بالخــــارج أيـــام الجمعة والسبت والأحد 21 و22 و23 نوفمبر 2014.
* في صورة إجراء دورة ثانية للانتخابات الرئاسية، تتولّى الهيئة العليا المستقلّة للانتخابات تحديد مواعيد الاقتراع الخاصّة بها طبق أحكام الدستور وأحكام الفصول 102 و103 و112 من القانون الأساسي عدد 16 لسنة 2014 المؤرخ في 26 ماي 2014 المتعلق بالانتخابات والاستفتاء، دون أن تتجاوز في كل الأحوال موفى 2014.

الهيئة العليا المستقلة للانتخابات

تعلم الهيئة العليا المستقلة للانتخابات بأنّه في نطاق تسهيل الإجراءات الخاصة بعملية تسجيل المواطنين التونسيين المقيمين بالخارج فانّه قد تقرر اعتماد طريقة جديدة لعملية التسجيل، تتمثّل في إدخال رقم بطاقة التعريف الوطنية وإضافة رقم جواز السفر وتاريخ نهاية صلوحيته إن توفّر.
كما تضع الهيئة العليا المستقلة للانتخابات على ذمّة التونسيين المقيمين بالخارج رقم الموزع الصوتي 33184141814+ وذلك للإجابة حول استفساراتهم فيما يخص عمليات التسجيل للاقتراع.



Photo de Des Droits Civiques Plateforme.