dimanche 28 juillet 2013

تونس :استمرار التظاهرات في معظم المناطق التونسية .صورة من باردو الآن

MANIFESTATION EN HOMMAGE A MOHAMED BRAHMI VICTIME DES FASCISTES INTÉGRISTES RELIGIEUX LE SAMEDI 27 JUILLET 2013 A 15 HEURES PLACE DE LA RÉPUBLIQUE à PARIS

جنازة شهيد الوطن محمد البراهمي

Déclaration du Collectif Tunisien pour la Défense des Libertés (CTDL)

Déclaration du Collectif Tunisien pour la Défense des Libertés (CTDL) Hommage à Mohamed Brahmi et appel à manifester ce 27 juillet à Paris Paris, le 27 juillet 2013 Après Lotfi Naqdh, le 18 octobre 2012 et Chokri Belaid, le 6 février 2013, Mohamed Brahmi, député de l'ANC, a été lâchement assassiné ce jeudi 25 juillet 2013, jour de commémoration du 56ème anniversaire de la proclamation de la République tunisienne. Ce troisième assassinat d’un dirigeant politique de l’opposition ne témoigne-t-il pas d’une volonté d’éliminer par la peur toute résistance organisée au pouvoir islamique ? Doit-on craindre l’élimination progressive des dirigeants politiques de l’ensemble de l’opposition ? Ce nouvel assassinat dément clairement l'optimisme affiché par le Chef du gouvernement qui répétait depuis plusieurs jours que la « sécurité est revenue » en Tunisie… tout en tolérant les appels au meurtre proférés par les dirigeants islamistes contre ceux qui contesteraient la légitimité de leur pouvoir. Il pointe l’absence de volonté du gouvernement de la Troika à défendre la paix civile et la sécurité des Tunisiens. Ce nouveau meurtre serait le fait de salafistes djihadistes. Si tel était le cas, cela ne disculperait pas Ennahdha qui tantôt tolère, tantôt encourage ces groupes politico-religieux violents ou contribue à leurs actions (incendies des mausolées, attaques d’événements culturels et agressions de personnalités progressistes, attaques de l’UGTT…). Alors qu’on observe un acharnement judiciaire vis-à-vis d’universitaires, d’artistes ou de la femen tunisienne Amina, ces groupes et les dites « ligues de défense de la révolution » bénéficient d’une quasi-impunité : peu de poursuites judiciaires, peines légères, rares arrestations... Les assassins de Chokri Belaid, eux, courent toujours. Le peuple tunisien attend des réponses incontestables sur les auteurs et les commanditaires de tous ces crimes politiques. Nous sommes inquiets pour l’état des libertés, pour le processus de transition démocratique. Pour l'avenir de notre pays qui souffre de la dégradation de la situation sociale et économique. Les tergiversations de l’ANC à mener à bien la constitution et à fixer la date des élections posent la question de sa légitimité ainsi que celle du pouvoir provisoire en place. Hier, un manifestant, Mohamed Moufti, est mort à Gafsa d’un jet de bombe lacrymogène par les forces de l’ordre. A l’heure où nous écrivons ces lignes, nous apprenons que des affrontements entre milices islamistes et manifestants démocrates se multiplient. Cela nous fait craindre un développement des violences dans l’ensemble du pays. Aujourd’hui, la République tunisienne est endeuillée par la perte de deux de ses enfants. Le Collectif Tunisien pour la Défense des Libertés (CTDL) présente ses sincères condoléances aux proches de Mohamed Brahmi et Mohamed Moufti, à tous leurs amis et aux démocrates tunisiens. Il vous appelle tous à participer à la manifestation du samedi 27 juillet à Paris, à 15h place de la République.

Rassemblement devant l'Ambassade de Tunisie

APPEL à MANIFESTATION en hommage à Mohamed BRAHMI samedi 15h Place de la république

Objet: APPEL à MANIFESTATION en hommage à Mohamed BRAHMI samedi 15h Place de la république MANIFESTATION EN HOMMAGE A MOHAMED BRAHMI VICTIME DES FASCISTES INTÉGRISTES RELIGIEUX SAMEDI 27 JUILLET 2013 A 15 HEURES PLACE DE LA RÉPUBLIQUE à PARIS A BAS LES ASSASSINS, LES FASCISTES ET LES INTÉGRISTES RELIGIEUX LES TUNISIENS DE FRANCE DEBOUT POUR UN FRONT DE SALUT NATIONAL POUR DÉFENDRE LA RÉVOLUTION Les fascistes assassins ont encore frappé en Tunisie, hier 25 juillet, journée de commémoration du 56ème anniversaire de la proclamation de la République, ils ont lâchement assassiné Mohamed BRAHMI membre de la direction nationale du Front Populaire, coordinateur général du courant populaire nationaliste Nassérien et député de la constituante. Ils l'ont criblé de balles devant son domicile. Ces assassins qui prennent pour cibles les militants démocrates opposants au gouvernement actuels courent toujours comme ceux qui ont assassiné le martyre des forces de progrès et dirigeant aussi du Front Populaire Chokri BELAÏD ainsi que ceux qui ont assassiné le dirigeant de Nidha Touness Lotfi NAGDH. Le gouvernement de la troïka responsable de l'ordre publique et de la sécurité des personnes porte l'entière responsabilité de ces assassinats en laissant traîner les enquêtes et les procédures judiciaires de ces crimes en refusant de dissoudre les milices islamistes qui sévissent contre les démocrates et les opposants. Il porte également la responsabilité politique en laissant propager les discours de haine et les appels au meurtre dans les mosquées et sur la place publique. Le dernier en date était l'oeuvre de Sahbi Atig, haut dirigeant d'Ennahdha et chef de son groupe parlementaire à l'assemblée nationale constituante, qui a appelé il y a quelques jours lors d'une manifestation de son parti à liquider ceux qui contesteraient la légitimité du pouvoir. Il porte aussi la responsabilité de la crise économique, sociale, politique et institutionnelle que traverse notre pays après la révolution. Ce gouvernement doit partir. Les forces démocratiques politiques et associatives tunisienne de l'immigration en France exigent le départ du gouvernement de la troïka et l'installation sans délais d'un gouvernement de salut national regroupant toutes les forces démocratiques opposées à la terreur, aux fascistes et aux intégristes. L'assemblée nationale constituante est aussi responsable de cette grave crise en choisissant les tergiversations et refusant de mettre fin à la violence, de dissoudre les ligues fascistes, de choisir une constitution démocratique civile, de mettre en place les véritables instruments de la transition démocratique et de combattre réellement la détresse socio-économique des centaines de milliers de tunisiens et particulièrement les jeunes. Elle a perdu toute légitimité, elle doit être dissoute. Les démocrates tunisiens vous appellent à manifester demain en hommage à la mémoire de Mohamed BRAHMI martyr des intégristes religieux fascistes et pour la sauvegarde de la révolution démocratique tunisienne. MANIFESTATION EN HOMMAGE A MOHAMED BRAHMI VICTIME DES FASCISTES INTÉGRISTES RELIGIEUX SAMEDI 27 JUILLET 2013 A 15 HEURES PLACE DE LA RÉPUBLIQUE POUR UN GOUVERNEMENT DE SALUT NATIONAL POUR LA DISSOLUTION DE L’ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUANTE A BAS LES FASCISTES VIVE LA TUNISIE CIVILE ET DÉMOCRATE Premiers signataires: Le Front Populaire de Tunisie - IDF, FTCR, ATF, AL Massar France, Aljoumhouri France Nord, CRLDHT, ADTF, UTIT, AIDDA, Collectif 3C, REMCC, CDTL, MCTF, Espace farabi, idéal 92

تونس: وزير الداخلية: السلاح الذي اغتيل به البراهمي هو نفسه الذي اغتيل بواسطته شكري بلعيد

تونس: وزير الداخلية: السلاح الذي اغتيل به البراهمي هو نفسه الذي اغتيل بواسطته شكري بلعيد

Le fondateur du Mouvement du peuple (gauche), Mohamed Brahmi, membre de l'Assemblée constituante, a été assassiné de plusieurs balles tirées devant son domicile. Il s'agit du deuxième assassinat d'un opposant en mois de six mois en Tunisie

ابنة النائب بالمجلس التأسيسي محمد البراهمي تدلي باوصاف قتلة والدها

L’UGTT, grève générale le vendredi 26 juillet 2013

L’UGTT, grève générale le vendredi 26 juillet 2013

بيـــــــان

الرابطــــة التونسيـــة للدفـــاع عن حقـــوق الإنســان Ligue Tunisienne pour la défense des Droits de l’Homme تونس في 25 جويلية 2013 بيـــــــان امتدت يوم عيد الجمهورية يد الغدر والإرهاب لتغتال نائب المجلس الوطني التأسيسي المناضل الديمقراطي والمنسق العام للتيار الشعبي و القائد بالجبهة الشعبية الشهيد محمد البراهمي أمام بيته وفي وضح النهار في عملية جبانة مشابهة لعملية اغتيال الشهيد شكري بلعيد . و إن يعبر مناضلو الرابطة عن حزنهم و صدمتهم لاستشهاد محمد البراهمي و يتقدمون بأحر التعازي لعائلته و لأهله و لتياره السياسي و للجبهة الشعبية فإن الرابطة التونسية للدفاع عن حقوق الانسان : 1- تدين بشدة هذه الجريمة السياسية النكراء التي استهدفت أحد رموز المعارضة الديمقراطية. 2- تحمل الحكومة القائمة المسؤولية السياسية و الأخلاقية لهذا الاغتيال الذي لحق أحد السياسيين المعارضين. 3- تطالب بفتح تحقيق جدي وشفاف تشرف عليه هيئة مستقلة للكشف عن المنفذين وعن الضالعين في هذه الجريمة تخطيطا وإشرافا وتمويلا حتى ينالوا جزائهم. 4- تحمل الأحزاب الحاكمة التي لم تشارك في مؤتمر مناهضة العنف و الإرهاب تبعات هذا الاغتيال لتهاونها في مقاومة ظاهرة العنف والتغافل عنه خاصة و إنها لم تمض على ميثاق الصادر عن هذا المؤتمر. 5- تعتبر أن اغتيال الشهيد يوم إحياء ذكرى عيد الجمهورية هو اعتداء مشين على معاني وقيم ورمزية هذا العيد. 6- تذكر الرابطة أنها نبهت إلى خطورة ظاهرة العنف اللفظي وبث مشاعر الكراهية والتحريض على العنف المادي الذي يستهدف المخالفين في الرأي في المواقع الاجتماعية والمنابر الدينية والسياسية والإعلامية، و قد وصلت إلى حد استعمال العنف المادي بالاعتداء على الحرمة الجسدية للصحافيين والمناضلين السياسيين والحقوقيين والاعتداء على المقرات والاجتماعات والزوايا. وأنها أدانت ّ السكوت بعدم فتح تحقيقات جديّة وإحالة الجناة على العدالة وهو ما كرّس مناخا ملائما لتصاعد العنف إلى حد درجة التصفية نتيجة الإفلات من العقاب. 7 تطالب الرابطة بالإسراع في إماطة اللثام عن الجريمة التي استهدفت الشهيد شكري بلعيد تخطيطا وتنفيذا منفذي عملية اغتيال الشهيد محمد البراهمي. عن الهيئة المديرة الرئيـــس عبد الستار بن موسى

ملامح الحزن والأسى على وجه أرملة محمد #البراهمي بعد اغتيال المعارض اليوم أمام منزله في حي الغزالة

‎فرانس 24 ومونت كارلو الدولية‎. vendredi ملامح الحزن والأسى على وجه أرملة محمد #البراهمي بعد اغتيال المعارض اليوم أمام منزله في حي الغزالة ب #تونس صورة حصرية لدافيد تومسون مراسل #فرانس_24 في تونس

Les actes et menaces islamophobes en France ont enregistré une hausse globale de 35 % au premier semestre

L'Observatoire de l'islamophobie préoccupé par les agressions de femmes voilées Les actes et menaces islamophobes en France ont enregistré une hausse globale de 35 % au premier semestre par rapport à la même période en 2012, selon un recensement de l'Observatoire de l'islamophobie, une émanation du Conseil français du culte musulman (CFCM), annoncé mardi 23 juillet. Selon Abdallah Zekri, le président de l'observatoire, "ce sont 108 actions islamophobes – violences, voies de fait, incendies, dégradations – qui ont été officiellement enregistrées entre le 1er janvier et le 30 juin 2013, par rapport à 80 pendant la même période en 2012". Quant aux menaces islamophobes "propos, gestes menaçants, démonstrations injurieuses elles sont passées de 63, pendant le 1er semestre 2012, à 84 pendant la même période cette année" . ""Globalement", a résumé M. Zekri, "cela représente une hausse de 35 %, sans parler des actes ou menaces qui n'ont pas fait l'objet d'une plainte. Ces chiffres sont donc en deçà de la réalité". Il a par ailleurs évoqué "un nouveau phénomène, inquiétant, survenu au cours du mois de juillet, à savoir les agressions contre des femmes à visage découvert, portant non le niqab [ou voile intégral, dont le port est interdit depuis avril 2011], mais le simple foulard". Lire : Les associations musulmanes s'inquiètent d'un "climat islamophobe" L'Observatoire en a ainsi dénombré cinq dans la région de Reims, trois dans le Val-d'Oise et une à Trappes. "Elles inquiètent d'autant plus", a poursuivi M. Zekri, "que des voix s'élèvent pour dire que si la police n'est pas en mesure de protéger ces femmes portant le foulard, ce sont les proches qui s'en chargeront". "UN INTÉGRISME QUI EN NOURRIT UN AUTRE" Interrogé sur le cas des femmes portant le niqab et notamment celle dont le compagnon s'est rebellé lors d'un contrôle à Trappes (Yvelines), entraînant de violentes émeutes le week-end dernier, Abdallah Zekri a estimé qu'il s'agissait d'"un intégrisme qui en nourrit un autre. Un fondamentalisme qui en nourrit un autre, celui de l'extrême-droite". "La très grande majorité des musulmans respectent la loi de 2011, mais certains, notamment des 'convertis' qui ne connaissent rien à l'islam ni au Coran, qui veulent être plus musulmans que les musulmans, vont vouloir faire la loi, brûlant des voitures, cassant des vitres. Ce faisant, ils font un tort considérable aux musulmans qui vont faire l'objet d'un amalgame." source le monde

Communiqué des associations démocratiques de l’immigration tunisienne à l’occasion du 57’anniversaire de la République

Réseau Remcc 24 juillet Communiqué des associations démocratiques de l’immigration tunisienne à l’occasion du 57’anniversaire de la République 23 jui par WM Solidarité | Tunisie Communiqué des associations démocratiques de l’immigration tunisienne à l’occasion du 57’anniversaire de la République 25 juillet 2013 Il y a vingt et un mois jour pour jour l’Assemblée Nationale Constituante (ANC) a été élue. Troisième projets de la future constitution ont été rédigés dont le dernier texte a été présenté, le 1er juin 2013 à la discussion et l’approbation de l’ANC. Les Tunisien(ne)s à l’étranger ont participé à la consultation nationale sur le troisième projet de constitution Ils se sont investis en nombre important dans ces débats organisés par la présidence de l’ANC avec l’aide du PNUD (N.U.). Ils ont émis des propositions riches et constructives qui traduisent leur attachement à notre patrie et d’être considérés comme des citoyens à part entière jouissant des mêmes droits et devoirs. Il est surprenant que lors des discussions en commissions les membres de l’ANC ont : Refusé la constitutionnalisation du Haut conseil des Tunisiens à l’étranger Rédigé un texte qui ignore totalement les Tunisiens à l’étranger, puisqu’il ne consacre aucun article ni aucun alinéa pour confirmer que les Tunisiens à l’étranger représentent une partie intégrante du peuple tunisien alors qu’il fallait leur reconnaître par la future constitution une pleine et entière citoyenneté avec les mêmes droits et les mêmes devoirs que leurs compatriotes résidant en Tunisie. Il est de même aussi surprenant que les propositions des associations démocratiques de l’immigration et de divers collectifs dont la Dynamique citoyenne des Tunisiens à l’Étranger (DCTE) et les Assises de l’Immigration Tunisienne, ne fassent l’objet d’aucune réponse ni attention malgré de nombreuses relances. Nous constatons avec amertume et indignation que le projet de la future constitution soumis au débat : N’affirme pas solennellement l’appartenance des Tunisiens, où qu’ils vivent, une partie intégrante du peuple tunisien. Ne mentionne pas explicitement le droit de vote et d’éligibilité des Tunisiennes et Tunisiens à toutes les élections nationales sans restrictions et ce, quel que soit leur lieu de résidence, de naissance, ou leur conviction spirituelle ou philosophique. N’inclut pas dans sa lettre le droit des immigrés et des tunisiens résidents à l’étranger ainsi que leurs associations d’être représentés dans une haute instance consultative. Ces trois manquements constituent une discrimination à l’égard des Tunisiens à l’étranger et une attitude qui fait d’eux des citoyens de seconde zone ne disposant pas des mêmes droits et des mêmes devoirs. Les constituants reproduisent ainsi la politique du pouvoir déchu envers les immigrés et les Tunisiens à l’étranger. Ils oublient que l’immigration tunisienne et les Tunisiens à l’étranger ont joué un rôle contre le despotisme et la dictature, pour le respect des droits démocratiques fondamentaux individuels et collectifs, pendant la révolution tunisienne et qu’ils ont été dans le soutien de tous les mouvements démocratiques (LTDH, UGTT, UGET, etc. , et dans l’appui à tous les mouvements sociaux depuis la grève générale conduite par l’UGTT en 1978 jusqu’au soulèvement des populations du bassin minier en 2008. Refuser de reconnaître à cette partie du peuple tunisien ses droits fondamentaux et citoyens, c’est installer leur exclusion et les maintenir dans le rôle de variable économique et sociale et pourvoyeurs de devises et sans leurs reconnaître leurs droits. A l’occasion du 56ième anniversaire de la proclamation de la République tunisienne en 1957, les associations de l’immigration démocratique tunisienne en France et les organisations politiques tunisiennes appellent à un : Rassemblement le 25 juillet 2013 à 18h30 devant l’ambassade de Tunisie à ParisPour exprimer leur attachement : Au caractère civil de l’Etat et à la République tunisienne démocratique et sociale, telle que les jeunes et les travailleurs et les paysans tunisiens l’ont réclamé pendant la révolution, A la citoyenneté pleine et entière des immigrés tunisiens et des Tunisiens à l’étranger et demander que l’ANC reconnaisse dans la future constitution que les immigrés tunisiens et les Tunisiens à l’étranger sont partie intégrante du peuple tunisien, La constitutionnalisation du haut conseil des Tunisiens à l’étranger. La défense des libertés d’expression, de pensée et de conscience là où elle est menacée afin de mettre définitivement fin aux atteintes actuelles dont sont encore malheureusement victimes des Tunisiennes et des Tunisiens. Signataires :ATF/ADTF/FTCR/UTIT/REMCC/AIDA/Collectif 3C/MCTF/Espace Farabi

La comédienne Valérie Lang très engagée dans le mouvement de défense des sans-papiers, est décédée

La comédienne Valérie Lang, fille de l'ancien ministre de la Culture Jack Lang est décédée dans la nuit de dimanche à lundi. Lors de sa naissance en 1966, ses parents, qui se sont rencontrés au conservatoire d'art dramatique de Nancy, sont encore comédiens. Elle a connu la scène très jeune lorsque sa mère jouait Les sept contre Thèbes d'Eschyle ou Caligula de Camus, deux pièces qui mêlent théâtre et politique. À l'époque, Jack, jeune et brillant universitaire, et Monique Lang créent le Festival de théâtre universitaire de Nancy qui deviendra pendant quinze ans un incontournable rendez-vous de création théâtrale. De 1989 à 1992, elle a suivi une formation de comédienne au Conseil national supérieur d'art dramatique (CNSAD) de Paris dans la classe de Jean-Pierre Vincent. Puis, elle a été membre associé de la troupe Nordey au théâtre des Amandiers jusqu'en 1998. De 1998 à 2001, elle a dirigé le théâtre Gérard Philipe - Centre dramatique national de Saint-Denis, avec son mari Stanislas Nordey, et conduit à ses côtés l'aventure du "Théâtre citoyen". Le projet a entraîné la faillite de l'institution. Engagement au MoDem Elle a fait des apparitions remarquées dans La philosophie dans le boudoir, du marquis de Sade, Électre, d'Hugo von Hofmannsthal, Hiroshima mon amour, tiré du scénario que Marguerite Duras avait écrit pour Alain Resnais en 1959. En plus de ses nombreuses prestations au cinéma et à la télévision et surtout au théâtre, Valérie Lang, qui considérait l'actrice anglaise Vanessa Redgrave, "députée et comédienne à la fois", comme son modèle, a fait une brève apparition en politique. Et ce n'est pas au Parti socialiste, mais au sein du MoDem que Valérie Lang s'est affichée en 2007, par "rejet profond, radical", de certaines positions de Ségolène Royal", expliquait-elle en 2009 dans les colonnes du Monde. Lors des législatives, elle a rejoint le parti de François Bayrou comme suppléante de Jean-Louis Ragot, candidat à la députation dans les Hauts-de-Seine. Le duo a obtenu un peu plus de 10 % des suffrages. Elle était aussi très engagée dans le mouvement de défense des sans-papiers. Elle se mobilisait avec l'association Droit devant, en compagnie de ses "copines" Josiane Balasko et Emmanuelle Béart, notamment dans certains quartiers du 93. source le point

Echauffourées à Trappes après la verbalisation d’une femme voilée

Echauffourées à Trappes après la verbalisation d’une femme voilée Mathieu Deslandes | Rédacteur en chef adjoint Rue89 Situation tendue vendredi soir à Trappes (Yvelines). Entre 200 et 400 personnes ont passé une partie de la nuit devant le commissariat, dans le quartier des Merisiers. Le bâtiment, cible de divers projectiles, était protégé par une dizaine de fourgons de CRS, tandis qu’un hélicoptère survolait la ville. Selon l’AFP, un jeune garçon, blessé par un tir de flashball, a dû être transporté à l’hôpital. VIDÉO DES ÉCHAUFFOURÉES À TRAPPES DANS LA NUIT DE VENDREDI À SAMEDI A l’origine de cette « manifestation » : l’émotion causée par un contrôle de police qui a mal tourné. Et le récit – déformé – de l’incident qui s’est propagé. Jeudi, un homme dont l’épouse a été contrôlée parce qu’elle portait un voile intégral (ce qui est interdit) a été interpellé puis placé en garde à vue. Il est jugé ce samedi en comparution immédiate au tribunal de grande instance de Versailles. Les policiers l’accusent de s’être opposé au contrôle et d’avoir agressé physiquement un agent. D’avoir tenté de l’étrangler, a précisé le procureur de la République de Versailles « Ne la touchez pas ! » La version de sa femme diverge largement. Le site Al-Kanz a publié son témoignage : « J’ai subi une injustice de la part de la police. Ils ont voulu nous contrôler à cause de mon voile intégral. Comme d’habitude, j’ai coopéré. J’allais lever mon voile lorsque j’ai vu l’un des agents pousser violemment ma mère. J’ai dit aux autres agents de regarder ce qui se passait derrière, que ça n’allait pas se passer comme ça, qu’il ne fallait pas toucher à ma mère qui n’a rien à voir avec le contrôle, sachant qu’elle était devant nous. L’un des agents s’est alors énervé sur mon mari, juste parce qu’il a dit, à propos de ma maman : “Ne la touchez pas ! Pourquoi vous la touchez alors qu’elle n’a rien à voir avec le contrôle ?” Le policier a alors dit à mon mari, de manière très agressive et en bombant le torse : “Tu vas faire quoi ?”. Je me suis interposée entre eux pour ne pas que ça dégénère. Une fois que le policier en a fini avec ma mère, il vient vers moi et fait de grands gestes devant mon visage en me tenant un langage agressif. Apeurée, je lui ai demandé de se taire. Il m’a alors attrapée par le voile au niveau de la tête et traînée avec une force monstrueuse, avant de me plaquer sur le capot de la voiture en me criant : “C’est à moi que tu parles ? C’est à moi que tu parles, hein ?” Je me suis retournée, puis j’ai aperçu mon mari maintenu à terre par deux policiers qui le menottaient. Une fois dans la voiture, ils nous criaient dessus comme si on était des chiens. Ils menaçaient mon mari en disant : “Qu’est-ce que tu vas faire maintenant p’tite tafiole, hein ?”, tout cela avec les poings serrés et en donnant des coups dans la voiture. Une fois arrivés au commissariat, les agents m’insultent de fantôme. » source rue89

dimanche 21 juillet 2013

Enfin des cartes de séjour pour les réfugiés de Choucha

jeudi 18 juillet 2013 4 3 0Google +0 Enfin des cartes de séjour pour les réfugiés de Choucha Il leur aura fallu plus de deux ans d’attente dans le désert tunisien pour obtenir un titre de séjour leur permettant de circuler dans le pays. Rached Cherif/LCDA Il aura fallu attendre deux ans et la fermeture officielle par le HCR du camp de Choucha pour que les autorités tunisiennes se décident à prendre des mesures concrètes afin de permettre l’accès aux droits des réfugiés. Ces naufragés de la guerre menée contre le régime de Kadhafi en Libye vont en effet recevoir des titres de séjour, a annoncé le premier ministère, alors qu’ils s’apprêtaient à passer leur troisième été dans le désert tunisien. Circuler : une question de survie Après plus de deux années passées sous des tentes dans le Sud tunisien, entre un poste frontière et une petite ville de province, les centaines d’habitants du camp de Choucha en Tunisie, vont enfin recevoir des documents leur permettant normalement de résider, de circuler et d’accéder au marché du travail et aux services publics dans le pays. Alors même que l’aide alimentaire était suspendue depuis plusieurs mois et l’eau régulièrement coupée dans le camp, ces réfugiés n’avaient théoriquement pas le droit de circuler en Tunisie. Les conditions de vie inhumaines à Choucha ont cependant fait qu’ils ont été nombreux à braver presque quotidiennement cet interdit pour trouver de quoi manger, voire des petits boulots dans la ville voisine de Ben Guerdane, à une dizaine de kilomètres de là. Certains ont même rejoint les grandes villes de la côte ou Tunis pour manifester leur mécontentement tout au long de ces deux années passées à guetter le bout du tunnel. D’autres encore ont rejoint la Libye pour tenter la traversée de la Méditerranée à destination de l’Europe. Tracasseries et interpellations à répétition Mais, ces déplacements hasardeux se sont souvent soldés par des contrôles et des interpellations. Laissés sans titre de séjour depuis leur arrivée en 2011, les réfugiés arrivés de Libye qui tentaient de remonter vers le nord ont vu plus d’une fois leur trajet s’achever au poste de police ou de garde nationale avant qu’ils ne soient reconduits manu militari vers Choucha. Leurs contacts et leurs soutiens ne comptent plus le nombre de fois où le taxi collectif qui devait les transporter arrivait à Tunis avec des sièges vides alors qu’ils apprenaient par téléphone l’arrestation des migrants qu’ils attendaient. Les forces de l’ordre elles-mêmes ne manifestaient pas grand enthousiasme à les interpeller, mais la situation irrégulière de ces voyageurs ne leur laissait pas le choix. Parmi les centaines d’habitants du camp de Choucha, certains s’en sortaient cependant mieux que d’autres. Les réfugiés reconnus comme tels par le HCR (aussi appelés « statutaires ») faisaient valoir leur statut, document à l’appui, pour franchir les contrôles sur les routes. Mais, faute d’un cadre juridique en matière d’asile, leur situation restait floue, et ils ne devaient leur salut qu’au bon vouloir ou à la méconnaissance de la loi par les agents. Un titre de séjour, des hébergements et des offres d’emploi selon le gouvernement Cette situation devrait rapidement changer. Le premier ministère a fait savoir ce jeudi 18 juillet qu’il allait délivrer une carte de séjour provisoire. Bonne nouvelle pour les habitants de Choucha : cette procédure concerne aussi bien « les personnes ayant le titre de réfugiés et qui n'ont pas été réinstallées et celles qui n'ont pas ce titre ». L’administration tunisienne a ainsi décidé de ne pas opérer sur ce point la même discrimination entre réfugiés statuaires et non statutaires. De plus, le ministère des Affaires sociales annonce qu'il fournira des places en « centres d'hébergement pour les réfugiés dans toutes les régions de la République », ainsi que des offres d’emploi pour les réfugiés statutaires. Celles-ci, au nombre de 700 selon le ministère, seront mises à leur disposition auprès du HCR. Les non statutaires en revanche pourraient se retrouver écartés de ces offres et contraints de se débrouiller par eux-mêmes pour assurer leur subsistance. Une avancée tardive Seul bémol, il aura fallu attendre presque deux ans et demi et la date officielle de la fermeture du camp le 30 juin dernier pour pousser le gouvernement tunisien à se pencher sur le problème. Jusqu’à présent, les ministères concernés (Intérieur et Affaires sociales en tête) se déchargeaient volontiers de leurs responsabilités sur le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) et vice versa. Nicanor Haon, responsable du département migration au Forum tunisien des droits économiques et sociaux (FTDES), salue cette initiative qui permettra, si tout se passe bien, « aux réfugiés de circuler et de vivre dignement en Tunisie ». « Il est tout de même navrant que cela n’intervienne qu’après plus de deux ans de vie dans les conditions infâmes du camp de Choucha », ajoute M. Haon qui rappelle les tracasseries perpétuelles Les réfugiés encore nombreux à prendre la mer faute de pouvoir s’intégrer en Tunisie « L’absence de cadre juridique en matière d’asile risque toutefois de poser des soucis dans un proche avenir », explique ce spécialiste des questions migratoires, qui invite les autorités à se pencher rapidement sur la question. M. Haon rappelle surtout que nombre de réfugiés ne souhaitent pas rester en Tunisie et ont déjà pris la mer vers Lampedusa depuis la Tunisie ou la Libye, dont certains réfugiés statutaires grâce à l’aide versée par l’UNHCR pour les aider à s’intégrer en Tunisie. « Cela ne règle pas le problème principal, qui est que sans solution de réinstallation en Europe, les réfugiés repartent d’eux-mêmes vers la Libye ou Lampedusa, au péril de leur vie. Depuis plusieurs mois, nous revendiquons la réinstallation de tous les réfugiés de la crise libyenne dans des pays dotés de systèmes d’asile » termine-t-il en pointant non seulement l’absence de loi en matière d’asile, mais aussi les incidents à caractère raciste qui se sont multipliés depuis l’arrivée des vagues de réfugiés. Pour le moment, tous les réfugiés du camp sont invités à se rendre aux postes de police et de la garde nationale pour régulariser leur situation. Sur le terrain, les consignes n’ont visiblement pas été transmises pour le moment. Quelques réfugiés qui se sont rendus au poste de garde nationale du camp de Choucha rapportent que les agents ont affirmé ne pas avoir été informés. Rached Cherif

Henri Alleg, le journaliste communiste qui a joué un rôle-clé pour révéler aux Français l’usage de la torture pendant la guerre d’Algérie, est mort mercredi, à l’age de 92 ans.

Henri Alleg, le 17 juin 2004 (IBO/SIPA) Il était l’auteur du livre « La Question », sorti en 1958 aux éditions de Minuit, aussitôt interdit et republié en Suisse. En 2003, il racontait son arrestation et la torture dans un documentaire de Jean-Pierre Lledo « Un rêve algérien ». Extrait. Son livre « La Question », qui reste aujourd’hui encore le document de référence sur la torture par les paras français pendant la guerre d’Algérie, a été adapté au cinéma en 1977 par Laurent Heynemann. Bande-annonce. « LA QUESTION », DE LAURENT HEYNEMANN, 1977 Henri Alleg, né à Londres de parents juifs, s’était installé à Alger en 1939, et s’était engagé auprès du Parti communiste algérien. En 1951, il était directeur du quotidien Alger républicain, auquel collaborait également Albert Camus. Je me trouvais il y a quelques semaines à Alger, et un journaliste algérien m’avait montré la façade de l’ancien siège d’Alger républicain au centre de la capitale, regrettant que la mémoire sélective algérienne d’aujourd’hui n’ait même pas honoré d’une plaque ce journal engagé en faveur des droits des Algériens... L’ancien siège d’Alger Républicain aujourd’hui (Pierre Haski/Rue89) « La Question » d’Henri Alleg, Editions de Minuit, réédition de 2008 Après le déclenchement de la lutte armée, le 1er novembre 1954, Henri Alleg est entré dans la clandestinité lorsque son journal est interdit par les autorités coloniales françaises, à une époque où le Parti communiste français était loin d’être aussi clair dans son positionnement. Henri Alleg fut arrêté le 12 juin 1957 chez son ami Maurice Audin, un mathématicien alors âgé de 25 ans, qui, lui-même capturé la veille, mourra sous la torture. François Hollande a rendu hommage à Maurice Audin lors de sa visite officielle en Algérie l’an dernier. Le journaliste fut torturé à plusieurs reprises au cours de sa détention, et ce sont ces séances de « gégène » qui constituent le point de départ du livre « La Question ». Un « traître » Pour l’establishment français de l’époque, Henri Alleg était un « traître ». Il fut jugé pour « atteinte à la sûreté extérieure de l’Etat » et « reconstitution de ligue dissoute », et condamné à dix ans de prison. Il parvint à s’échapper, et rejoignit la Tchécoslovaquie alors communiste. Il ne put revenir en France qu’après l’amnistie des Accords d’Evian qui accordèrent l’indépendance à l’Algérie en 1962. Henri Alleg a incontestablement joué un grand rôle dans la prise de conscience, lente et progressive, de l’opinion française face aux crimes commis en son nom en Algérie. Il restera communiste jusqu’au bout, et même orthodoxe puisqu’il défendit l’ex-dirigeant de la RDA Erich Honecker, et reprocha à la direction du PCF sa « dérive social-démocrate ». source rue89

النفيضة:تكريم جديد للدكتور الهادي السعيدي

النفيضة:تكريم جديد للدكتور الهادي السعيدي 18 جويلية 2013 | 08:37 بعد حصوله على أعلى وسام ثقافي فرنسي سنة 2010 وتكريمه حينها من قبل الرئيس الفرنسي ساركوزي تقرر تسمية الباحث والمؤرخ التونسي الهادي السعيدي «فارس في العلوم الأكاديمية بفرنسا» وذلك بإجماع من كل الباحثين والمؤرخين الأكاديميين بفرنسا وهو وسام جديد يضاف الى تونس والى ابن ولاية سوسة تحديدا. ويُذكر أن الدكتور الهادي السعيدي هو من مواليد 10 ديسمبر 1957 وهو أصيل منطقة النفيضة متحصل على دكتوراه أولى في التاريخ ودكتوراه ثانية في علم الاجتماع وهو مختص في مجال الهجرة وله أكثر من 10 مؤلفات في هذا الاختصاص كما كانت «الشروق» سباقة في محاورته اثر حصوله على اعلى وسام فرنسي سنة 2010. معز دبش source alchourouk

samedi 9 novembre 2013 Huit heures pour la Tunisie

samedi 9 novembre 2013 Horaire12:00 – 20:00 Où Espace Olympe de Gouges 15 rue Merlin 75 011 Paris Description Collectif Tunisien pour la Défense des Libertés La journée comportera : - des débats (tables rondes et ateliers animés par des compétences tunisiennes vivant à l’étranger et des invités de la société civile venant de Tunisie), - un stand de livres sur la Tunisie, - des stands (militants, associatifs, produits artisanaux...), - des spécialités culinaires et des produits locaux, - des animations pour enfants (maquillage…), - des activités culturelles : projection de films, diapos, documentaires, poésie avec la participation de musiciens et d'artistes vivant en France et venus de Tunisie… - des expositions (photos, affiches…). Nous comptons sur l’appui le plus large de tous nos partenaires, des artistes, des intellectuels et sur la participation du plus grand nombre de tunisiens et d’amis de la Tunisie pour faire de cette journée un moment de mobilisation politique et aussi un moment festif et convivial. Mail : contact.ctdl@gmail.com Facebook : http://www.facebook.com/ctdl.tn ------------------------------------------------------------------------- La défense des libertés et la transition démocratique en Tunisie Depuis plus de deux ans et demi la Tunisie est au-devant de l’actualité internationale. Le pays qui a été l’initiateur des mouvements de révoltes populaires dans le monde arabe et de la chute de plusieurs dictateurs continue à vivre une période de transition mouvementée. Les tunisiens et les amis de la Tunisie se posent légitimement des questions sur ces dangers qui menacent la cohésion et la sécurité du pays, le caractère civil et moderniste de l’Etat tunisien, sur les retards accumulés dans la préparation du projet de Constitution et des futures élections. La situation actuelle se caractérise par la persistance du chômage surtout celui des jeunes qui ont été les acteurs majeurs de la contestation et les principales victimes de la répression de décembre 2010 et janvier 2011, un pouvoir d’achat qui se dégrade de jour en jour, des attaques contre les droits des femmes, les tentatives de noyautage et de contrôle par le parti islamiste Ennahda des rouages de l’Etat et de la société tunisienne et surtout le développement d’un climat de violence allant jusqu’à l’assassinat politique. La multiplication des atteintes aux libertés, les pressions, les poursuites et procès d’opinion et les agressions des milices appelées « ligues de sauvegarde de la révolution » contre les universitaires, les intellectuels, les journalistes, les syndicalistes, les artistes et les militants politiques et des droits de l’homme sont des signaux d’alerte et d’inquiétude. Un tel climat est pénalisant pour l’économie du pays, pesant pour les citoyens tunisiens et constitue un frein pour de nombreux touristes qui souhaitent le visiter. Face à ces difficultés et menaces le peuple et la société tunisienne ne sont pas restés inertes : des contestations, des mobilisations et des contributions s’expriment au niveau politique, économique, social, artistique et culturel. Les forces démocratiques et la société civile tunisienne organisent cette résistance, contraignant à plusieurs reprises le gouvernement et les partis de la Troïka au sein de l’Assemblée Nationale Constituante à reculer sur de nombreux sujets. Les tunisiens de France, les franco-tunisiens et les amis de la Tunisie qui ont, de tout temps, apporté un soutien et une solidarité sans faille aux luttes du peuple tunisien contre la dictature et l'autocratie et pour la démocratie et les libertés et qui ont contribué à la chute du régime de Ben Ali ne peuvent pas rester insensibles et inactifs face aux dangers qui menacent les libertés et le processus démocratique en Tunisie. Le Collectif Tunisien pour la Défense des Libertés (CTDL) organise une journée d’information, de débat et d’animations musicales et culturelles qui nous l’espérons sera une contribution à la défense des libertés et à la réussite de la transition et du projet démocratique en Tunisie. Cette journée a aussi pour objectif de donner une image positive et attirante du pays et de faire connaître une Tunisie accueillante, plurielle, dynamique et mobilisée contre toutes les tentatives d'imposer au pays une nouvelle autocratie politique et un retour en arrière en matière de démocratie et de libertés publiques et individuelles. --------------------------------------------------------------------------- COLLECTIF TUNISIEN POUR LA DÉFENSE DES LIBERTÉS (CTDL) Des tunisiens de l’immigration en France appartenant à divers horizons associatifs et politiques ainsi que des personnalités indépendantes, se sont réunis pour faire face à la multiplication des atteintes aux libertés démocratiques et individuelles en Tunisie ainsi que les agressions répétées et impunies, menées par des groupes dits salafistes contre des mouvements sociaux, des artistes et des représentants de divers secteurs de la vie politique et sociale en Tunisie. Ils ont créé un cadre de travail et d’action unitaire qui a pour objectif la défense des libertés telles que définies par les conventions internationales des droits de l’homme en y incluant les libertés appliquées au champ social. Ce cadre unitaire réunit des associations, partis et organisations politiques ainsi que des personnalités indépendantes. Il fonctionne sur le principe de la collégialité et a pour tâche principale d’œuvrer en relation avec les démocrates en Tunisie contre toutes les atteintes aux libertés dans notre pays et ce quel qu’en soient les auteurs ou commanditaires. Il tisse des liens de solidarité avec les mouvements démocratiques, syndicaux, associatifs et des droits de l’homme en France, en Europe et dans le monde. Le Collectif Tunisien pour la Défense des Libertés (CTDL) est composé des associations : ADT : Les Amis Des Troglodytes ADTF : Association Démocratique des Tunisiens en France AIDDA : Association interculturelle de production, de diffusion et de documentation audiovisuelle ALESCO : Averroes Littérature Education Sciences Culture Organisation ATNF : Association des Tunisiens du Nord de la France CFT : Collectif Femmes tunisiennes COLLECTIF 3C : Collectif Culture Création Citoyenneté CRLDHT : Comité pour le Respect des Libertés et Droits de l'Homme en Tunisie FTCR : Fédération des Tunisiens pour une Citoyenneté des deux Rives MCTF : Mouvement Citoyen des Tunisiens en France REMCC : Réseau Euro-Maghrébin Citoyenneté et Culture UTAC : Union des Tunisiens pour une Action Citoyenne UTIT : Union des Travailleurs Immigrés Tunisiens VJFH : Vérité et Justice pour Farhat Hached Et des personnalités suivantes : ABASSI Mohieddine, ABDESSAMAD Hichem, ABICHOU Khaled, ABICHOU Sarra, AOUINA Hamadi, BAABOURA Noureddine, BAKALTI Souad, BARDI Houcine, BARNAT AMIZA Douja, BEN AISSA Hazem, BEN AMEUR Ali, BEN AMEUR Hedia, BEN HAMIDA Abdelwaheb, BEN HIBA Tarek, BEN SAID Alia, BEN SAID Mohamed, BEN YOUSSEF Adnane, BENMOUSSA Sassi, BENSLAMA Fathi, BESSIS Sophie, BOUCHOUCHA Meriem, CARACCI Celsio Walid, CHEBI MEHDI, CHENCHABI Hédi, CHERBIB Mohieddine, DAMAK Mohamed, DHAOUI Mohamed, EL AMRI Aida, EL BAHRI Moncef, EL GHOUL Chafik, ELLOUMI Chedly, FAOUEL Raoudha, FERJANI Chérif, FERJANI Claudette, FOURATI Sarah, GADHOUMI Mourad, GHALI Kamel, GUEDOUAR Moncef, HAMMAMI Abdelwehab, HAMROUNI Mohamed, HAMROUNI POTHIER Radhia, HARRAR Souad, HICHERI Moncef, HORCHANI BOUAZIZI Abderrazak, JAIDANE Riadh, JALLOUL Nacer, JAOUA Wafa, JOUINI Noureddine, KAMMARTI Saloua, KITAR Abderrazak, LTIFI Adel, MATRI Jallel, MECHKANE Noureddine, MESSAOUD Ahmed, MILADI Houssemeddine, MILED Belgacem, MILED Najet, MIZOUNI Najet, MSAOURA Ali, MUSTAPHA LOUIS-THERESE Ibticem, NAGATI Karima, NOUISSER Ahmed, OURIEMMI Kamel, SAADALLAH Fathi, SAADALLAH Nathalie, SENOUSSI Noureddine, SLAMA Hassen, SRAIEB Hédi, THABET Adel, TLILI Fathi, TOUKABRI TAREK, TOUNSI Abdelkarim, TRABELSI Mohamed, YAKOUBI Sonia, ZAIBI Leila, ZEKRI Houda

Sans-papiers, mais pas sans droits

LES NOTES PRATIQUES 6e édition Présentation / Sommaire Comment utiliser cette publication ? La notion de sans-papiers Aide aux sans-papiers et secret professionnel >> Vie quotidienne Droit à la domiciliation administrative Justificatifs de domicile, domiciliation et démarches préfectorales Ouverture d’un compte bancaire, droit au compte Accès aux services postaux Déclaration des revenus et avis d’imposition Aide juridictionnelle >> Santé Assurance maladie Aide médicale de l’État Fonds pour les soins urgents et vitaux Lieux de soins et de prévention accessibles sans protection maladie Interruption volontaire de grossesse >> Couple Mariage Pacs Concubinage >> Enfants Aide sociale à l’enfance Protection maternelle et infantile Modes de garde des enfants Scolarité Bourses scolaires >> Hébergement Structures d’hébergement et hébergement d’urgence Droit à l’hébergement opposable Droit au logement opposable >> Aides diverses Prestations sociales des collectivités locales et cantines scolaires Réductions tarifaires dans les transports >> Travail Assurance accident de travail Conséquences de l’emploi illégal >> Vieillesse Retraite et pensions aux personnes âgées >> Citoyenneté Droits au cours d’un contrôle d’identité Vie associative et syndicale Sigles et abréviations

SOUVENIR FSM A TUNIS MARS 2013

Rafle d’étrangers à Barbès

ACTION COLLECTIVE Rafle d’étrangers à Barbès, l’État policier toujours à l’œuvre On connaît maintenant le bilan de la gigantesque rafle qui a eu lieu le jeudi 6 juin 2013, dans le quartier de la Goutte-d’Or à Barbès (Paris) visant notamment les étrangers en situation irrégulière. Aux alentours de 15 heures, arrivés à bord de plusieurs dizaines de fourgons, les CRS se déploient en travers de plusieurs rues pour procéder au bouclage d’une zone formée par la rue de la Goutte-d’Or, la rue des Islettes, la rue Capla, la rue Charbonnière, ainsi qu’une partie du boulevard Barbès. Personne ne peut pénétrer dans le périmètre et pour en sortir il faut prouver son identité française ou montrer son titre de séjour. À l’intérieur de la zone prise d’assaut, policiers en uniforme et en civil, CRS et agents de la brigade anti-criminalité sont à l’œuvre : ils quadrillent les rues, fouillent les halls d’immeuble, les cafés et effectuent des contrôles d’identité quasi systématiques pendant près d’une heure et demie. Plusieurs témoignages font état de violences policières. Au final, 16 personnes ont été placées en garde à vue pour des délits mineurs et au moins 32 personnes de nationalité étrangère ont été menottées et conduites au commissariat du 18e arrondissement parce qu’elles étaient dans l’incapacité de prouver leur droit au séjour en France. Ces personnes ont été placées en rétention administrative à Vincennes et, comme la loi du 16 juin 2011 le prévoit, elles ont dû attendre cinq jours pour qu’un juge contrôle le respect de leur libertés individuelles au cours de la procédure. Précisément, les juges de la liberté et de la détention ont annulé les trois quarts (24 sur 32) des procédures – entraînant la libération des intéressés – pour contrôle au faciès ou notification tardive des droits. Le bilan de cette opération policière d’envergure est maigre au regard des objectifs affichés et qui la rendent possible en droit : la préservation de la sécurité et de l’ordre publics. En réalité, à l’instar d’autres opérations policières d’envergure visant les étrangers – que l’on songe au démantèlement des « jungles » à Calais – cette rafle n’avait pas pour véritable objectif de reconduire à la frontière un grand nombre d’étrangers sans titre de séjour. Parce que trop de personnes sont concernées en même temps en un même lieu, il est en pratique très difficile que leurs droits soient effectivement respectés – comme le droit à un interprète – et c’est de manière tout à fait prévisible qu’un grand nombre d’interpellations et de placements en rétention ont été annulés par les juges. Mais alors pourquoi une telle rafle ? Ce déploiement démesuré des forces de police n’est rien d’autre qu’une démonstration de force à l’adresse des personnes les plus pauvres et les plus vulnérables de la capitale. Il s’agit avant tout de signifier avec violence aux habitants des derniers quartiers populaires de Paris qu’ils sont sous surveillance, sous contrôle. Si pour certains, la liberté d’aller et venir est une liberté fondamentale, pour eux, étrangers et étrangères en situation irrégulière ou détenteur d’un titre précaire, il s’agit d’un privilège qui disparaît au détour d’une rue, au bon vouloir d’un policier en civil. Englués dans une vision de la société qui secrète chaque jour davantage d’inégalités et de misère, nos gouvernants en sont réduits à humilier les plus vulnérables et à bafouer leurs droits. Cette rafle qui s’inscrit dans une politique féroce de lutte contre l’immigration est bien le reflet d’une vision du monde ségrégationniste et autoritariste contre laquelle nos organisations continueront de se battre. Paris, le 11 juillet 2013 Signataires : ADDE (Avocats pour la défense des droits des étrangers) Gisti (Groupe d’information et de soutien des immigré·e·s)

L’armée égyptienne a écarté du pouvoir ce mercredi le président Mohamed Morsi

L’armée égyptienne a écarté du pouvoir ce mercredi le président Mohamed Morsi. Elle a également annoncé la mise en place d’une élection anticipée et la suspension de la Constitution.

COLLECTIF TUNISIEN POUR LA DEFENSE DES LIBERTES

COLLECTIF TUNISIEN POUR LA DEFENSE DES LIBERTES CHARTE Adoptée, à Paris, le 11 septembre 2012 Il est créé une structure unitaire dénommée « Collectif Tunisien pour la Défense des Libertés » (CTDL) pour lutter contre les menaces et atteintes aux libertés publiques et individuelles et contre la criminalisation des luttes sociales en Tunisie et s’élever contre le refus du gouvernement de protéger les citoyennes et citoyens victimes de ces attaques. Cette structure est composée d'associations, de partis et organisations politiques et de personnalités. Elle s'engage à : 1. Œuvrer pour le respect et la défense des libertés et des droits humains en Tunisie, tels que définis par la communauté internationale, notamment ceux souscrits par la Tunisie dans ses engagements nationaux et internationaux : Déclaration universelle des droits de l'homme ; - Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels- ; - Pacte international relatif aux droits civils et politiques ; - Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains et dégradants ; - Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes ;- Déclaration sur l'élimination de toutes les formes d'intolérance et de discrimination fondée sur la religion ou la conviction ; - Charte africaine des Droits de l'homme et des peuples… 2. Soutenir les luttes sociales pour la réalisation des objectifs de la révolution en matière de dignité, de droit au travail, de respect de l'environnement, de développement juste et équitable, d’égalité entre les femmes et les hommes. 3. Défendre la liberté syndicale, le droit de grève et soutenir l’union Générale Tunisienne du Travail (UGTT) eu égard à son rôle historique dans la défense des travailleurs et des libertés en Tunisie. 4. Militer au côté de la société civile en Tunisie pour l'instauration d'une justice transitionnelle indépendante et appuyer les revendications des blessés et des familles des martyrs de la révolution. 5. Promouvoir les valeurs humanistes, de tolérance et défendre le vivre ensemble et en particulier la liberté de conscience et le respect de la neutralité des lieux de culte. 6. Promouvoir et défendre l’égalité des droits entre tous les citoyens, indépendamment de leur confession, genre, statut social, lieu de résidence et lutter contre toutes formes de racisme. 7. Sauvegarder et renforcer le caractère civil de l’état. 8. Dénoncer et lutter contre toutes les formes de violences et d’agressions des bandes organisées (sur des bases confessionnelles, idéologiques partisanes, ou criminelles) attentatoires aux libertés. Dénoncer tout manquement de l’Etat tunisien à ses obligations d’assurer la sécurité des personnes et des biens et le poursuivre, si besoin est, devant les instances juridiques nationales et internationales 9. Soutenir toutes les victimes des attaques et agressions en raison de leurs activités, opinions ou croyances. 10. Soutenir la liberté de création et dénoncer les agressions à l’encontre des artistes. 11. Œuvrer pour une presse libre et indépendante et soutenir les journalistes dans leurs luttes contre les harcèlements et les tentatives de mise sous tutelle de la part du gouvernement tunisien. 12. Lutter pour l’indépendance de la justice et soutenir les magistrats dans leurs luttes pour la création de structures représentatives libres et autonomes. 13. Lutter pour la mise en place d'une instance supérieure indépendante des élections garante de l’organisation d’élections libres, pluralistes et transparentes. 14. Renforcer les liens de solidarité avec la société civile en Tunisie pour la défense des libertés et des droits humains. 15. Promouvoir les liens de solidarité avec les peuples du Maghreb et entre les deux rives de la Méditerranée en vue de la défense des libertés. 16. Créer des liens de solidarité avec les mouvements démocratiques, syndicaux, associatifs et des droits de l’homme en France, en Europe et dans le monde. Les membres du CTDL s'engagent à militer et à mettre en avant les principes d'unité, de fraternité, de collégialité et de franche camaraderie en vu de réaliser les engagements ci-dessus énoncés.

عاجل: الجيش المصري: نمهل الجميع 48 ساعة لحل الازمة

عاجل: الجيش المصري: نمهل الجميع 48 ساعة لحل الازمة

La Croatie est officiellement devenue le 28e pays de l'Union Européenne.

La Croatie est officiellement devenue le 28e pays de l'Union Européenne.

Mohamed Morsi en proie aux flammes

Mohamed Morsi en proie aux flammes. Mohamed Morsi en proie aux flammes. Carton rouge pour le président installé il y a tout juste un an. Dans les manifestations monstres qu'a connu l’Égypte ce dimanche, "dégage" un slogan au goût de déjà vu place Tahrir. Inflation, chômage, Mohamed Morsi est tenu pour responsable du marasme économique. il est accusé de gouverner pour les Frères musulmans dont il est issu. Au Caire, des manifestants ont d'ailleurs attaqué leur quartier général. Pas question de négocier pour la rue. Plusieurs accrochages ont eu lieu à travers le pays entre pro et anti-Morsi. Le mouvement Tamarrod, à l'origine de la contestation contre le président égyptien, a d'ailleurs appelé le chef de l'État à quitter le pouvoir avant mardi menaçant d'engager un mouvement de "désobéissance civile". installé il y a tout juste un an. Dans les manifestations monstres qu'a connu l’Égypte ce dimanche, "dégage" un slogan au goût de déjà vu place Tahrir. Inflation, chômage, Mohamed Morsi est tenu pour responsable du marasme économique. il est accusé de gouverner pour les Frères musulmans dont il est issu. Au Caire, des manifestants ont d'ailleurs attaqué leur quartier général. Pas question de négocier pour la rue. Plusieurs accrochages ont eu lieu à travers le pays entre pro et anti-Morsi. Le mouvement Tamarrod, à l'origine de la contestation contre le président égyptien, a d'ailleurs appelé le chef de l'État à quitter le pouvoir avant mardi menaçant d'engager un mouvement de "désobéissance civile".

Carte de séjour permanente

27 juin > Objet : [Chibani Interne n°136] Carte de séjour permanente > >Source Alexis Bachelay > Mission d’Information sur les immigrés âgés: déjà une première mesure! Mercredi 26 juin 2013 Ce mardi 25 juin, le ministère de l’Intérieur (secrétariat général à l’immigration et à l’intégration) vient de publier une circulaire. Celle-ci prévoit la généralisation d’une carte de séjour permanente pour les résidents immigrés âgés de plus de 60 ans. A propos du renouvellement de la carte de résident, la circulaire demande en effet aux préfectures de « veill(er) à faire une application généralisée de cette faculté lorsque l’étranger qui sollicite le renouvellement de sa carte de résident est âgé de plus de 60 ans ou lorsque la demande porte sur un second renouvellement de carte de résident. » Cette carte de séjour pour les immigrés âgés vient d’une demande de la mission d’information, dont je suis le Rapporteur. Le ministre de l’Intérieur Manuel Valls s’était d’ailleurs engagé sur ce sujet lors de son audition en mai dernier, par la Mission d’information sur les immigrés âgés. Cette carte de séjour permanente aura pour but de simplifier les démarches des immigrés âgés. Il ne sera donc plus nécessaire pour eux de se rendre à la préfecture pour renouveler leur titre de séjour, de manière régulière et contraignante. Aujourd’hui, je me félicite de cette annonce qui marque une première étape dans notre mission: celle d’améliorer les conditions de vie des immigrés âgés. A titre d’information, la Mission d’information sur les immigrés âgés présentera officiellement son rapport à la presse le 3 juillet à l’Assemblée, en présence de Claude Bartolone, président de l’Assemblée nationale. Ce rapport fera des préconisations afin de faire évoluer la situation de ces immigrés âgés. Enfin, le 4 juillet, une réunion publique se tiendra à la Bourse du travail à Gennevilliers afin de présenter notre rapport aux acteurs locaux.

Abdellatif Kechiche dédie sa Palme d'Or à la Jeunesse Tunisienne

Abdellatif Kechiche dédie sa Palme d'Or à la Jeunesse Tunisienne Abdellatif Kechiche dédie sa Palme d'Or à la Jeunesse Tunisienne pour leur aspiration à vivre librement, s'exprimer librement, et aimer librement. Le réalisateur tunisien Abdeltif Kechiche a remporté aujourd'hui la Palme d'Or au festival de Cannes pour son film "La vie d'Adèle". Ayant réuni dans les deux rôles principaux les jeunes actrices françaises Léa Seydoux et Adèle Exarchopoulos, le film raconte une histoire d'amour entre deux femmes en France au tournant des années 2000. Né le 7 décembre 1960 à Tunis, Abdellatif Kechiche a fait une carrière d'acteur, scénariste et réalisateur. Il a été largement récompensé aux Césars. En 2005, il remporte le César du meilleur film, de meilleur réalisateur et du meilleur scénario pour "L'esquive". En 2008, il rafle le César du meilleur film, du meilleur réalisateur et du meilleur scénario original pour "La graine et le mulet". Ce même film a été récompensé à Venise en 2007 par le grand prix du jury et le prix de la révélation pour la comédienne tunisienne Hafsia Herzi.

MANIF LE PREMIER MAI 2013

Manif premier mai 2013

samedi 20 juillet 2013

فرنسا تكرم فرحات حشاد Qui eut dit que Farhat Hached foulera un jour dans toute sa grandeur le sol français ? Dessin au 13è arrondissement de Paris où sera inaugurée la place Farhat Hached

MANIF DE CLÔTURE DE LE FSM A TUNIS ( JOURNEE DE LA TERRE)

IMAGE FSM A TUNIS

RENCONTRE AVEC LE SECRÉTAIRE D’ÉTAT DE L'IMMIGRATION A TUNIS

RENCONTRE AVEC LE SECRÉTAIRE D’ÉTAT DE L'IMMIGRATION A TUNIS

IMAGE FSM A TUNIS

IMAGE FSM A TUNIS

IMAGE FSM A TUNIS

IMAGE FSM A TUNIS

Dans le cadre de la dynamique de préparation du FSM qui aura lieu à Tunis du 26- au 30 Mars 2013

Dans le cadre de la dynamique de préparation du FSM qui aura lieu à Tunis du 26- au 30 Mars 2013 et de la journée internationale des luttes pour les droits de femmes > Les associations du FALDI Forum des Associations des Luttes Démocratique de l'Immigration vous invitent à son meeting > les femmes sans papiers Projection film- Débat suivi de témoignage des femmes sans papiers Le vendredi 8 mars 2013 de 19 h à 22 h à la bourse de travail au 9-11 rue Genin 93 200 Saint Denis métro saint-Denis porte de Paris

Forum Social Mondial du 26 au 30 mars à Tunis : Un autre monde est possible

Forum Social Mondial du 26 au 30 mars à Tunis : Un autre monde est possible