lundi 13 février 2012

عادل امام يطعن في حكم السجن الصادر بحقه 2012-02-03

عادل امام يطعن في حكم السجن الصادر بحقه
2012-02-03


لندن 'القدس العربي': بعد الحكم الصادر بحبس الفنان عادل إمام ثلاثة اشهر بتهمة 'ازدراء الاديان'، قدم'الفنان المصري الشهير طعنًا على الحكم وطلب اعادة المحاكمة، وذلك حتى لا يكون القرار واجب التنفيذ ويتم القبض عليه من بيته.
ورفض نقيب الممثلين المصريين اشرف عبد الغفور مناقشة الحكم، كما اكد ان الاحداث السياسية التي تمر بها مصر اهم، وانه لم يسمع بالحكم حتى يعقب عليه، بينما اكد مجلس النقابة انه سيناقش الحكم وسيعلن عن رفضه الكامل له والتضامن مع الفنان عادل إمام.
وأكد المنسق العام لجبهة الدفاع عن حرية الابداع عبد الجليل الشرنوبي ان الحكم القضائي جاء بشكل صادم، وان اللجنة ستعقد اجتماعًا من أجل مناقشته بشكل موسع وكيفية التعامل معه، لافتًا الى انه يعتبر الحكم بداية للمعركة التي قررت الجبهة الدفاع عنها وهي حرية الابداع.
وأشار الي ان كافة اعضاء الجبهة لديهم اصرار حقيقي على ان يقوموا بعملهم بشكل كامل والاصرار على الدفاع عن الابداع واتباع سياسة النفس الطويل خصوصًا وان المعركة لن تكون الاخيرة.
وشدد على ان الجبهة بالطبع ستحتاج الى دعم من الجهور لان كل طرف سيعتمد على طريقته في الحشد، مؤكدًا ان مساندة المبدعين في مواقفهم من قبل الجمهور سيكون لها دور كبير في ذلك.
وكان وقع الحكم كبيرا على الوسط الفني، خصوصًا في ظل المعركة المشتعلة حول حرية الابداع، والدفاع عنها في وجه التيارات الدينية المتشددة.

أيمن نور: مذبحة بورسعيد مدبرة كموقعة الجمل

أيمن نور: مذبحة بورسعيد مدبرة كموقعة الجمل
الأربعاء، 1 فبراير 2012 - 23:18

أيمن نور زعيم حزب غد الثورة
كتب حسين يوسف

استبعد الدكتور أيمن نور، زعيم حزب غد الثورة، أن يكون الشغب الكروى هو الجانى وراء مأساة مقتل العشرات فى أحداث مباراة الأهلى والمصرى، مشيرا إلى أن المذبحة التى تمت مدبرة، كما تم تدبير موقعة الجمل العام الماضى.

وأكد نور – فى تصريح لـ"اليوم السابع" أن حزب غد الثورة دعا حكماء وعقلاء مصر إلى اجتماع يعقد غدا فى مقر حزب غد الثورة لاستكشاف الحقيقة فيما يحدث، خاصة أن ما يحدث من انفلات أمنى واقتحامات للبنوك والشركات وتصدير الذعر والفزع فى الأسبوعين الأخيرين هو نفس ما حدث فى الفترة من مارس وحتى إبريل 1954 وأعقبها الانقلاب على الديمقراطية، ورفض تسليم الشرطة ومعاناة مصر 60 عامًا من الحكم العسكرى.

وطالب زعيم حزب غد الثورة بضرورة محاسبة جميع المتورطين فى الأحداث، ومحاسبة المقصرين سواء قيادات الأمن أو وزير الداخلية نفسه الذى يجب أن يتقدم باستقالته فورا، لفشله فى مهمته الرئيسية، وهى نشر الأمن فى ربوع مصر، خاصة أن الأسبوعين الأخيرين شهدا انهيارًا أمنيًا كبيرًا، عانت منه قطاعات كبيرة من الشعب، ووصل إلى أن يدفع عشرات الشباب حياتهم ثمنا لهذه الفوضى الأمنية فى بورسعيد.

Assistantes maternelles : une « neutralité » d’exclusion

LIBERTÉS 24 janvier
LAÏCITÉ
Auteur de l'article : LDH
Assistantes maternelles : une « neutralité » d’exclusion
Communiqué LDH
La Ligue des droits de l’Homme ne peut se satisfaire de l’adoption, le 17 janvier par le Sénat, de la proposition de loi visant, selon ses termes officiels, à étendre l’obligation de neutralité des professionnels de la petite enfance aux structures privées de la petite enfance et aux assistants maternels à domicile. Si elle ne souhaite pas respecter cette neutralité, la personne concernée devra le stipuler dans son contrat de travail.
Outre le fait qu’on risque de voir resurgir des débats sans fin sur ce qui pourra être considéré comme une manifestation contraire à la neutralité, les termes et les conséquences de cette proposition de loi dont l’application sera inévitablement compliquée sont à bien des égards inadmissibles. D’une part, elle contrevient à la liberté de conscience et d’opinion inscrite dans la loi de 1905, ainsi qu’à la liberté d’expression garantie par cette même loi, par la Déclaration universelle des droits de l’Homme (DUDH) et par la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen de 1789. D’autre part, elle inaugure un nouveau type de contrat de travail, celui où le salarié devra déclarer ses convictions religieuses, alors même que le Code du travail interdit toute discrimination directe ou indirecte basée notamment sur la religion.

En réalité − et personne n’est dupe − cette loi s’inscrit dans la brèche ouverte par les diverses lois votées depuis 2004 en matière de laïcité. Hier de jeunes élèves, puis des mères désireuses d’accompagner leurs enfants en sortie scolaire, puis des futures mariées se sont vues exclues de l’espace public ou social parce qu’elles portaient un signe religieux. Aujourd’hui, c’est le tour des « nounous ». Demain ?

A travers cette proposition de loi, on assiste à une nouvelle tentative de dénaturer la laïcité en un moyen d’exclusion qui, dans les faits, vise tout particulièrement les femmes de confession musulmane, dans ce qui représente parfois pour elles la seule possibilité d’activité rémunérée donc d’autonomie. Ce n’est pas cette conception de la laïcité que défend la LDH, attachée à une démocratie qui crée les meilleures conditions du vivre ensemble dans le strict respect de la liberté de conscience.

Paris, le 24 janvier 2012

Air France expulse... sans résistance

Air France expulse... sans résistance

Témoignage de Nicanor Haon, publié sur Médiapart le 25 janvier 2012

On lira ci-après le récit paru sur Mediapart de l’éloignement forcé d’un Tunisien sur un vol d’Air France, auquel Nicanor Haon, membre du bureau du Gisti, a assisté le 18 janvier dernier.

Face à l’impassibilité ou à l’indifférence, de plus en plus coutumière, des autres passagers, il n’a eu d’autre moyen d’exprimer sa solidarité qu’en protestant, puis en quittant l’avion avant qu’il ne décolle.

Si son geste, ce geste, nécessaire grain de sable à introduire contre la machine à expulser, est susceptible de déclencher des poursuites pour « délit de solidarité », nous estimons qu’il constitue un acte de légitime indignation face à ces « traitements inhumains et dégradants ».
* * *

Nicanor Haon, coordinateur du projet Boats 4 People, témoigne de l’expulsion à laquelle il a assisté le mercredi 18 janvier, dans un vol Paris-Tunis, et de son impuissance à l’empêcher.

SOS Tunisie : les libertés menacées !

SOS Tunisie : les libertés menacées !

Le soutien à cet Appel est ouvert à tous : aux tunisien(ne)s résidant en Tunisie ou à l’étranger et à nos ami(e)s du monde entier quelque soit leur nationalité ou leur pays de résidence.

« L’état des libertés publiques en Tunisie appelle à la vigilance et à la mobilisation.

Nous apprenons, au quotidien, des violations et des atteintes répétées aux libertés fondamentales : à la liberté d’expression, à la liberté de la presse, à la liberté d’information, à la liberté de création et à la liberté de pensée.

Nous, Tunisiennes et Tunisiens de l’étranger, signataires de cet appel, sommes inquiet(e)s de la dégradation des libertés acquises par la Révolution tunisienne, dont la revendication essentielle était : la liberté, le travail et la dignité. Nous sommes inquiet(e)s parce que chaque jour apporte son lot d’atteintes et de violations des libertés publiques et, en particulier, de la liberté de la presse.

Ce lundi 23 janvier se tenait un procès, celui d’une chaîne de télévision – un procès qui n’aurait pas dû exister et qui nous rappelle les sombres moments de la dictature de l’ancien régime. Quels que soient les reproches « légitimes » d’une partie de l’opinion exprimées lors de la projection d’un film ou d’une création artistique, ceux-ci ne justifient ni la violence ni les menaces. Ces reproches ne justifient pas non plus la poursuite judiciaire d’une chaîne de télévision dans l’exercice de son travail. Les médias, quelle que soit leur nature, publics ou privés, doivent jouir de la pleine liberté de diffusion et d’expression dans un pays libre et démocratique.

Lors de ce procès, Abdelhalim Messaoudi, Hamadi Redissi, Zyed Krichen, Salah Zeghidi, Saïda Garrach, Youssef Seddik... (journalistes, universitaires et militants des droits de l’homme), présents aux abords du Palais de justice, ont subi des agressions et des humiliations de la part d’un groupe de personnes dites « salafistes ». Les libertés fondamentales, avec l’indépendance de la justice, sont les piliers et les garants d’une société réellement démocratique. Il est inadmissible qu’une société démocratique ne soit pas capable d’assurer l’ordre public et son maintien, de surcroît lors d’un procès qui semble mobiliser le ban et l’arrière-ban de la partie qui l’a provoqué. Est-ce normal que la sécurité des citoyen(ne)s ne soit pas assurée et que la police soit restée inerte dans un tel contexte?

Nous ne pouvons rester silencieux devant cette violence, et nous nous joignons à toutes les voix qui, en Tunisie, se sont élevées contre ces méthodes qui nous rappellent de tristes souvenirs.

Nous exprimons notre soutien et notre solidarité aux victimes de ces agressions et déplorons l’absence de sécurité dans ce contexte qui exigeait un minimum de prévention.

Nous, signataires de cet appel, demandons aux autorités publiques d’assumer leur responsabilité de garant du maintien de l’ordre public et de la sécurité des citoyen(ne)s.

Nous regrettons que la police attende des ordres, qui ne viennent pas.

Après les incidents subis par la Faculté de la Manouba et le tâtonnement dans le traitement du problème par les autorités compétentes, nous voilà, à nouveau, aujourd’hui, en présence d’une inertie des autorités en matière de maintien de l’ordre public.

Nous demandons aux autorités publiques de mettre tout en œuvre pour rechercher les auteurs de ces violences, de les traduire devant les tribunaux et d’assurer sans délai la sécurité des personnes menacées.

Nous rappelons que la démocratie ne peut se construire dans un climat d’intolérance et de violence et en l’absence du respect des libertés fondamentales (libertés publiques et individuelles). »



تونس: الحريات في خطر

تستأثر الساحة السياسية التونسيّة اليوم بعديد الملابسات والتحدّيات تصل إلى حدّ العنف والتجاوزات، فوضعيّة الحريات العامة في تونس ما هي إلاّ مثال جليّ على ذلك إذ تدعو بحق إلى اليقظة والتعبئة، فما يكاد يمرّ يوما إلّا وتزداد الخروقات والانتهاكات المتكرّرة للحريات الأساسية كحرية التعبير والصحافة والإعلام والخلق والإبداع وحرية التفكير.

نحن التونسيين والتونسيات المقيمين بالخارج، الممضين لهذا النداء جدّ قلقين أمام تردّي حالة الحريات التي أنجزتها الثورة التونسية والتي كان عمادها الأساسي، "الحرية والشغل والكرامة ".

فمـــــا جرى يوم الاثنين الثالث والعشــــــرين (23) من شهر جــانفي ( مثول قناة تلفزية أمام المحكمة لمقاضاتها ) لدليل دامغ على ما نقول، محاكمة ما كان لها أن تكون أصلا إذ تُعيدُ الذاكرة إلى سنوات الجمر التي عاشها التونسيون تحت دكتاتورية النظام السابق.

نحن قلقون لما يحدث يوميا ويتكرّر من إنتهاكات ومسّ بالحريّات العامة وخصوصا حرية الصحافة فرغم المآخذ والنقدُ " المشروع " الذي أبداه جزء من الرأي العام على إثر عرض شريط أو خلق إبداعي فإنّ هذا لا يُبرّر بالمرّة العنف والتهديدات ولا التتبّعات العدلية لقناة تلفزية تقوم بواجبها المهني.

إنّ وسائل الإعلام باختلاف طبائعها وتوجهاتها عمومية كانت أو خاصّة يجب أن تتمتّع بكامل حرياتها في البث والإرسال وكذلك التعبير في بلد حرّ وديمقراطي.

أثناء هذه المحاكمة نُشير إلى أنّ مجموعة من الصحافيين والجامعيين ومناضلين من أجل حقوق الإنسان نخصّ بالذكر منهم: - عبد الحليم المسعودي ، حمادي الرديسي، زياد كريشان، صالح الزغنيدي، سعيدة قرّاج ويوسف صدّيق.

كانوا متواجدين قرب المحكمة تعرّضوا إلى الاهانة والعنف على أيادي عناصر "سلفيّة" إنّ الحريات الأساسية واستقلال القضاء هما ركائز وضمانات للمجتمع الديمقراطي فمن غير المقبول إطلاقا أن يعجز مجتمع ديمقراطيا ما على توفير الأمن العام وإثباته خاصّة أثناء محاكمة " القناة التلفزية " جُنّدت لها أرادت عناصر سلفيّة وأشعت فتيلها.

أيعقلُ في هذه الحالة أن يمكثُ رجال الأمن مكتوفي الأيدي متفرّجين غير عابئين بأمن المواطنين وسلامتهم رغم ما حدث ويحدثُ من إرتكاب العنف والتجاوزات.

أمام تصاعد موجات العنف ما عاد بوسعنا الصمت لذلك نضمّ صوتنا ( نحن الممضين ) إلى الأصوات المتعالية في تونس ضدّ هذه الأساليب التي تُذكرنا بماض مؤلم غير بعيد.

نُعبّر عن مساندتنا وتضامننا مع ضحايا العنف ونُندّد بتغييب الأمن في ظرف ما أحوج فيه المواطن التونسي إلى حدّ أدنى ( على الأقل ) من الحماية.

نحن الممضين، نُطالب السلطات العمومية بتحمّل مسؤولياتها في ضمان الأمن العام وحماية المواطنين والمواطنات نأسف لانتظار أعوان الأمن لأوامر للتدخّل للحدّ من أعمال العنف...أوامر لم تأت أبدا فبعد الأحداث التي عاشتها " كلية منوبة" وتأرجح السلطات المعنية بين أخذ القرار وعدم أخذه ها نحن اليوم من جديد أمام عدم الإكتراث المريب للسلطات بخطورة الوضع والتزامها بالحفاظ على الأمن.

نشدد على مطالبة، السلطات العمومية بالعمل بجدية ووضع ما بوسعها من قدرات للبحث عن مرتكبي أعمال العنف وإحالتهم للقضاء وضمان – دون أجل – حماية الأشخاص المهدّدين في حياتهم.

نُذكـّر أخيرا بأنّ الديمقراطية لا يمكن بأيّ حال أن تُبنى وتتحقق في مناخ لا يسود فيه التسامح ويطغى عليه العنف ويغيبُ فيه إحترام الحريات الأساسية العامة منها والفردية

Premiers signataires :

Ahmed ABBES, directeur de recherche au CNRS
Selma ABDELHAMID, archéologue, Université de Francfort
Hichem ABDESSSAMAD, chercheur
Khaled ABICHOU, ancien syndicaliste
Hafedh AFFES, ATNF Lille
Najoua AGREBI, juriste
Sadok AIDI, informaticien
Mourad ALLAL, militant associatif
Rabeh ARFAOUI, ATF
Zeineb ATTYA, AR2D
Noureddine BAABOURA, militant associatif, FTCR
Houcine BARDI, porte parole du Parti Tunisien du Travail (PTT)
Souhayer BELHASSEN, présidente de la Fédération Internationale pour la défense des Droits de l’Homme (FIDH)
Yagoutha BELGACEM, directrice artistique Siwa plateforme.
Ali BEN AMEUR, militant associatif
Sami BENBRAHIM, étudiant
Tarek BEN HIBA, président de la Fédération Tunisienne des Citoyens des deux Rives (FTCR)
Tahar BENMEFTAH, enseignant à Lyon
Alia BENSAID, Collectif des Femmes Tunisiennes
Lamine BENSALEM
Féthi BENSLAMA, Professeur, Doyen de l’UFR d’Etudes psychanalytiques, Université Paris Diderot, IPAD
Adnane BEN YOUSSEF, membre du bureau politique du PDP
Sophie BESSIS, journaliste et universitaire
Nadia BRAHEM, traductrice - Allemagne
Abdessalem BRAHIM, Ettajdid
Kaies BOUKHRIS , étudiant en Master Aix-en-Provence
Fatma BOUVET de la MAISONNEUVE, psychiatre, essayiste, élue municipale à Montrouge
Noureddine CHATTI, Association Suedo-Tunisienne, Stockholm
Raouf CHEBBI, universitaire
Hédi CHENCHABI, militant associatif (AIDDA)
Mohieddine CHERBIB, porte parole du Comité pour le Respect des Libertés et des Droits de l’Homme en Tunisie (CRLDHT)
Khadija CHERIF, universitaire, militante, SG de la FIDH
Jilani CHRIGUI, ingénieur.
Mariem DALI, juriste, étudiante (Amsterdam University)
Mohsen DRIDI, militant associatif
Aida EL AMRI, ACTIF
Nacer EL FAHEM Ettejdid France
Nadia ELFANI, cinéaste
Lillia ELGOLLI, écrivain et photographe
Mohamed-Lakhdar ELLALA, président de l’Association des Tunisiens en France (ATF)
Chedly ELLOUMI, militant associatif, Grenoble
Faïza ELLOUZE, militante associative
Mohamed-Chérif FERJANI, universitaire, islamologue à Lyon 2
Raoudha FAOUEL, militante associative (MCTF)
Amine FENDRI, secrétaire général adjoint de la section Paris Ile de France du Parti Démocrate Progessiste (PDP)
Lotfi FRIGUI
Mohamed Mrad GADHOUMI, PTT France
Gérard HADDAD, psychiatre, psychanalyste, écrivain
Moncef HADDAD, enseignant de chimie Québec
Khaled HAMIDA, médecin membre du comité Central de la LDH
Mohamed Ali HAMMAMI, France
Samir HAMMOUDA, PCOT
Mohamed HAMROUNI, président du Mouvement Citoyen des Tunisiens en France (MCTF)
Abderrazak HORCHANI BOUAZIZI, président de l'Association Démocratique des Tunisiens en France (ADTF)
Rachid HASNAOUI, professeur des écoles au Mans
Samia HATHROUBI, enseignante, militante associative
Nacer JALLOUL, PTT
Jamel JANI , Association des droits de la personne au Maghreb (ADPM), Canada
Mohamed JAOUA, professeur des Universités
Hedi JEMIAI, retraité de l'Organisation des Nations Unie, Secrétaire Général de l'AFAO
Farah JEMEL, chef de publicité
Hédi JILANI, PTT
Chokri JLASSI, Secrétaire Général Section Paris-Sud du PDP
Noureddine JOUINI, professeur, Université Paris 13
Mohamed KAABI, Secrétaire Général de l’Association Equilibre et Partage.
Hassane KARKAR, enseignant universitaire retraité
Al Azhar KHALFALLAH, retraité, Toulouse
Habib KHEMIRI, avocat à la Cour de Paris
Mohamed MANSAR, Centre Culturel Franco-Maghrébin, Chalon S/Saône
Jalel MATRI, Union des Tunisiens de Suisse (UTS)
Hédi MEGDICHE, économiste
Yvette MEGDICHE, enseignante
Ali MEZGHANI, universitaire, Paris 1
Krifa MICHKET, auteure et créatrice.
Nidhal MIZOUNI, militante des Droits de l’Homme en Tunisie, Grèce
Najet MIZOUNI, universitaire, Paris 8
Anis MSALLEM, enseignant.
Imane NORA AZOUZI, inspectrice pédagogique, militante associative (Parité et Egalité)
Brahim NSIRI, ancien journaliste.
Bahija OUAZZENI, militante féministe
Ramzi OUESLATI, militant associatif
Besma OTHMANI, membre du collectif 3C
Leila SAKKA, Ettajdid Ile de France
Alya SAÏDI, enseignante
Evelyne SAIDI
Mohamed SAIDI
Lilya LENHERR-SAIDI
Souha SHIMI, PTT
Dhekra Belwafa SLAMA, Tounssia Hourra
Mohamed SMIDA, ATF
Noureddine SENOUSSI, président du Réseau Euro-Maghrébin Citoyenneté et Culture (REMCC)
Mondher TOUITI, indépendant
Tarek TOUKABRI, ancien candidat PDP à la Constituante

Kamel YOUSFI, président de l'association Solidarité Jasmin Marseille
Hatem ZAAG, directeur de recherche au CNRS, Université Paris 13
Chadli ZAIDI, coordinateur général du Mouvement des Patriotes Démocrates en France (MOPAD), ancien candidat à la Constituante
Soutiens :

Mgr Jacques GAILLOT, évêque
Samir AMIN, Forum du Tiers Monde, Forum mondial des alternatives, Centre d'études arabes et africaines (Le Caire)
Hélène DUPONT, Partenia 2000, Toulouse
Taoufik ALLAL, Manifeste des libertés
Lina BENMHENNI, universitaire, blogueuse, Tunisie
Taoufik CHAMMARI, Tunisie
Houda BEN GHACHAM, enseignante 9 Avril, Tunis
Franco FABIANI (Roma, Italia), Communication service manager
Rabâa Ben Achour-ABDELKEFI , universitaire retraitée, Tunisie
Claudine ROMEO, agrégée de Philosophie, Maître de Conférences en Esthétique à l'université Paris 1 (Panthéon- Sorbonne)
Martine DVORETZKI, retraitée, Orléans
Josette LE BERRE, psycho-sociologue
David GASSEM Samarbakhsh
Annick LOUVEL, consultante en santé publique, LDH
Umit METIN, responsable de l’Assemblée Citoyenne des Originaires de Turquie (ACORT)
Michel LAVENIR, Bron, France
Amina BOUAYACH, présidente de l'Organisation Marocaine des Droits de l'Homme (OMDH)
Kamel LAHBIB, Forum Marocaindes Alternatives Sud (FMAS)
Kamel DAOUD, Ligue Algérienne des Droits de l'Homme (LADH)
Mohamed HARBI, historien
Paul BALTA, ancien journaliste au Monde
Annick COUPE, porte-parole de SUD
Pierre TARTAKOWSKY, président de la Ligue des Droits de l'Homme
Patrick BLOCHE, député de Paris, maire du 11ème arrondissement